1996 Fender Lonestar Stratocaster – Shoreline Gold 1996 Fen€ 1.200,00
Rivera Seulement 250 pces faites pour le monde entier en 199
€ 900,00
Ophalen
1371sinds 10 apr. '25, 08:36
Kenmerken
ConditieZo goed als nieuw
SoortGitaar
Beschrijving
Seulement 250 pces faites pour le monde entier en 1996
Paul Rivera Combo 20th Anniversary Series
BM100-112
en parfait état de fonctionnement
état cosmetic a 95%
un ampli de rêve pour tout guitaristes connaisseurs
Nous sommes dans les années '70, à Los Angeles, Californie, USA. Mr Paul Rivera travaille chez
FENDER Amplifiers, société où il est en charge de définir les gammes et modèles d'amplificateurs Fender, et en crée même certains. En parallèle, il a sa propre boutique de réparation et de modification d'amplificateurs. CBS a déjà racheté la société Fender depuis 1965. Au début des années '70, CBS décide de passer de l'artisanat à de la production de masse industrielle, et de réduire les coûts. En 1975, CBS vend Fender Amplifiers, et Mr Rivera la quitte. En aout 1976, il crée sa société à Los Angeles, RIVERA Amplifiers.
Il commence à construire ses propres amplificateurs, au début basés sur les concepts Fender, puis s'en affranchit. Sa cible, le marché du haut de gamme alors dominé par Mesa Boogie et Soldano.
BM100-112 puissance de 100 watts, et 1 haut-parleur de 12 pouces.
Cet amplificateur est couvert d'un revêtement en Tolex beige clair, et la toile en façade est brune.
Habituellement, ils sont tout noir... Il s'agit d'un modèle particulier :
C'est l'un des modèles de la gamme "20th Anniversary Series", le 'State of the Art' du savoir-faire de Rivera. Ce modèle particulier a été édité à 250 exemplaires. Il est rarissime.
C'est une première main, il a été acheté neuf par son propriétaire actuel musicien collectionneur (voir facture d'achat)
C'est un ampli tout lampes, avec 4 x EL34 (ou KT77) pour l'amplification, et 5 x 12AX7 (ou ECC83, 6681, 7025) pour la préamplification.
Les tubes ont été changés à neuf avec des tubes Rivera, et sortent d'un rodage de quelques heures.
Description technique :
• Avant toute manipulation, il faut décider du mode de fonctionnement de l'ampli, ce qui aura des conséquences directes sur le son et la puissance délivrée. Les tubes peuvent fonctionner en mode triode ou pentode (sélecteur au dos), à mi-puissance ou à pleine puissance (sélecteur en façade, qui sert également de Stand-By). En mode Triode, la puissance sera de 10 ou 50 watts, on aura un son plutôt rond et chaud. En mode Pentode, elle sera de 25 ou 100 watts, avec un son plus précis et dynamique.
Attention, c'est un ampli à tubes, la puissance réelle est sans rapport avec celle délivrée par un ampli à transistor. Au minimum, 8 watts, avec le volume à 3 (sur 10), on tient déjà aisément face à une batterie, mieux vaut se reculer si on va au-delà, et il est probable que les voisins arrivent pour se plaindre... La pleine puissance est réservée à un local adapté ou à la scène. Mais... les plus beaux sons, en particulier saturés, viennent quand les tubes sont en charge. Pour les avoir à bas volume sonore, on peut utiliser un préamplificateur, de préférence à tubes, avant d'attaquer le préamplificateur du Rivera. Eviter les pédaliers simulateurs d'amplis (Line 6, Mooer,...) ou autre POD, car ils gomme la personnalité des guitares, leur dynamique, et la sensibilité du jeu.
Le Canal 1 :
Dédié aux sons saturés, bien que l'on puisse en tirer de beaux sons clairs ou crunchs. Le Volume est le niveau d'entrée, donc la pré-charge des tubes pour les faire saturer, et plus on monte le niveau, plus on augmentera la compression du son. Le Master gère le niveau de sortie, et permet de faire l'égalisation avec le second canal. Les boutons d'égalisation grave/médium/aigu sont propres à ce canal, et ont une double fonction quand on les tire: Gain 1 permet de saturer avec peu de compression, Gain 2 avec de la compression (ce qui masque l'attaque des cordes et augmente le sustain). Le bouton de réglage des médiums n'est pas classique, il gère en plus un Notch Filter. Le Notch est un filtre coupant une bande de fréquences en laissant passer les fréquences plus hautes et plus basses. Bouton poussé (position normale), la coupure se fait à 550 Hertz pour un son chaud typique des amplis anglais, et est conseillé pour les micros simple bobinage. Bouton tiré, la coupure se fait à 250 Hertz, on a un son plus claquant, parfait pour des rythmiques, plus proche du son des amplis américains.
Quand on utilise une enceinte externe ou un chaînage d'amplificateurs, le Notch permet aussi de corriger la couleur du son qui leur sont propres.
Le Canal 1 permet d'obtenir tous les types de saturations, des plus légères aux plus extrêmes, mais plus on va loin, plus le son deviendra brouillon. En tant qu'utilisateur, ce canal m'a offert les saturations de Gary Moore, et des sonorités que je pensais réservées à Mesa Boogie.
Attention, les réglages sont très sensibles (tourner par demi graduation), et interdépendants. Le résultat reflète aussi toutes les caractéristiques de la guitare utilisée, de ses micros, et du jeu du guitariste. Ce qui est optimisé pour une guitare ne le sera pas pour une autre, il est donc conseillé de noter tous ses réglages si on veut les retrouver sans les rechercher à nouveau.
Attention, entre la bonne santé de l'ampli et son haut-parleur de 12", les graves ont une certaine tendance à l'embonpoint, surtout avec des humbuckers. Un réglage autour de 2 semble un maximum quand on utilise beaucoup de médiums, jusqu'à 4 quand on les creuse.
Le Canal 2 :
Plutôt dédié aux sons clairs. On retrouve les même réglages que pour le Canal 1, Volume en entrée, Master en sortie, et les trois boutons d'un autre égaliseur dédié (mais dans un ordre inversé). La préamplification offerte ici ne compresse pas le signal comme avec le Canal 1, et n'offre pas autant de gain, afin de pouvoir obtenir des sons purs et clairs même à haut volume. On retrouve un Notch sur le Médium. On trouve une fonction Bright sur le bouton d'aigus, une sorte de booster d'aigus d'autant plus efficace que le volume monte, qui apporte claquant et Twang'. On trouve un Contour sur le bouton de Basse, qui agit un peu comme un Loudness en poussant un peu les graves, en compressant les médiums et en augmentant un peu les aigus. Et... une fonction Ninja sur le Master! Le Ninja Boost permet d'augmenter volume et gain mais sans modifier les timbres qui restent préservés et en conservant la dynamique et la définition du son. Du gras et du gain, oui, mais à régler avec patience et précision pour obtenir des sons fabuleux.
Compléments communs aux deux canaux: Reverb, Slavemaster, Focus, Presence L'ampli propose une reverb à ressort intégrée, réglable via le bouton Reverb.
Le Slavemaster est dépendant des branchement dans sa boucle d'effets.
Le Slavemaster sans effets branchés agit comme un amplificateur ajouté aux canaux 1 ou 2. Il a deux boutons de contrôle, le Gain pour le taux de distortion, le Level pour ajuster le niveau de sortie par rapport à celui des Canaux. Utilisé ainsi, c'est comme le Ninja, un complément ou une couleur différente apportée en plus à chaque canal.
Avec des effets branchés à l'arrière dans sa boucle Send/Return, on ajoute ces effets à la fonction
Slavemaster, créant ainsi un véritable Canal 3 sur mesure.
On peut aussi envoyer le résultat du Slavemaster dans un autre ampli, une sono,... en branchant un câble dans la prise Slavemaster Send à l'arrière de l'ampli, sans utiliser la prise de Return.
La fonction Focus, en façade, permet à l'amplificateur de gérer activement les mouvements de la membrane du haut-parleur pour la rendre plus raide ou plus souple, avec pour résultat un son plus rond ou plus précis et claquant. Cela permet aussi d'ajuster le son en fonction de l'amortissement d'une salle, par exemple entre les essais à vide, et quand les spectateurs sont arrivés.
La Presence est un contrôle d'aigus en fin d'égalisation du son, après les Volume, Master, Ninja Boost, Slavemaster, etc... pour encore affiner le son final.
• La boucle d'effets
Permet d'envoyer puis recevoir un signal vers un effet, ou une chaîne d'effets. C'est une boucle active avec deux boutons de réglage, pour gérer le niveau d'entrée vers les effets ou leur impédance, et gérer le niveau de retour dans le Rivera. C'est indépendant et différent de la boucle du Slavemaster.
Pour être complet, on trouvera de plus à l'arrière :
Deux prises DIN pour brancher le pédalier Rivera FS-5 à cinq poussoirs
Une prise SPKR 2 pour brancher une enceinte additionnelle à l'ampli
Un Line Out pour envoyer le signal complet mixé vers une sono, ou un système d'enregistrement.
Seulement 250 pces faites pour le monde entier en 1996
Paul Rivera Combo 20th Anniversary Series
BM100-112
en parfait état de fonctionnement
état cosmetic a 95%
un ampli de rêve pour tout guitaristes connaisseurs
Nous sommes dans les années '70, à Los Angeles, Californie, USA. Mr Paul Rivera travaille chez
FENDER Amplifiers, société où il est en charge de définir les gammes et modèles d'amplificateurs Fender, et en crée même certains. En parallèle, il a sa propre boutique de réparation et de modification d'amplificateurs. CBS a déjà racheté la société Fender depuis 1965. Au début des années '70, CBS décide de passer de l'artisanat à de la production de masse industrielle, et de réduire les coûts. En 1975, CBS vend Fender Amplifiers, et Mr Rivera la quitte. En aout 1976, il crée sa société à Los Angeles, RIVERA Amplifiers.
Il commence à construire ses propres amplificateurs, au début basés sur les concepts Fender, puis s'en affranchit. Sa cible, le marché du haut de gamme alors dominé par Mesa Boogie et Soldano.
BM100-112 puissance de 100 watts, et 1 haut-parleur de 12 pouces.
Cet amplificateur est couvert d'un revêtement en Tolex beige clair, et la toile en façade est brune.
Habituellement, ils sont tout noir... Il s'agit d'un modèle particulier :
C'est l'un des modèles de la gamme "20th Anniversary Series", le 'State of the Art' du savoir-faire de Rivera. Ce modèle particulier a été édité à 250 exemplaires. Il est rarissime.
C'est une première main, il a été acheté neuf par son propriétaire actuel musicien collectionneur (voir facture d'achat)
C'est un ampli tout lampes, avec 4 x EL34 (ou KT77) pour l'amplification, et 5 x 12AX7 (ou ECC83, 6681, 7025) pour la préamplification.
Les tubes ont été changés à neuf avec des tubes Rivera, et sortent d'un rodage de quelques heures.
Description technique :
• Avant toute manipulation, il faut décider du mode de fonctionnement de l'ampli, ce qui aura des conséquences directes sur le son et la puissance délivrée. Les tubes peuvent fonctionner en mode triode ou pentode (sélecteur au dos), à mi-puissance ou à pleine puissance (sélecteur en façade, qui sert également de Stand-By). En mode Triode, la puissance sera de 10 ou 50 watts, on aura un son plutôt rond et chaud. En mode Pentode, elle sera de 25 ou 100 watts, avec un son plus précis et dynamique.
Attention, c'est un ampli à tubes, la puissance réelle est sans rapport avec celle délivrée par un ampli à transistor. Au minimum, 8 watts, avec le volume à 3 (sur 10), on tient déjà aisément face à une batterie, mieux vaut se reculer si on va au-delà, et il est probable que les voisins arrivent pour se plaindre... La pleine puissance est réservée à un local adapté ou à la scène. Mais... les plus beaux sons, en particulier saturés, viennent quand les tubes sont en charge. Pour les avoir à bas volume sonore, on peut utiliser un préamplificateur, de préférence à tubes, avant d'attaquer le préamplificateur du Rivera. Eviter les pédaliers simulateurs d'amplis (Line 6, Mooer,...) ou autre POD, car ils gomme la personnalité des guitares, leur dynamique, et la sensibilité du jeu.
Le Canal 1 :
Dédié aux sons saturés, bien que l'on puisse en tirer de beaux sons clairs ou crunchs. Le Volume est le niveau d'entrée, donc la pré-charge des tubes pour les faire saturer, et plus on monte le niveau, plus on augmentera la compression du son. Le Master gère le niveau de sortie, et permet de faire l'égalisation avec le second canal. Les boutons d'égalisation grave/médium/aigu sont propres à ce canal, et ont une double fonction quand on les tire: Gain 1 permet de saturer avec peu de compression, Gain 2 avec de la compression (ce qui masque l'attaque des cordes et augmente le sustain). Le bouton de réglage des médiums n'est pas classique, il gère en plus un Notch Filter. Le Notch est un filtre coupant une bande de fréquences en laissant passer les fréquences plus hautes et plus basses. Bouton poussé (position normale), la coupure se fait à 550 Hertz pour un son chaud typique des amplis anglais, et est conseillé pour les micros simple bobinage. Bouton tiré, la coupure se fait à 250 Hertz, on a un son plus claquant, parfait pour des rythmiques, plus proche du son des amplis américains.
Quand on utilise une enceinte externe ou un chaînage d'amplificateurs, le Notch permet aussi de corriger la couleur du son qui leur sont propres.
Le Canal 1 permet d'obtenir tous les types de saturations, des plus légères aux plus extrêmes, mais plus on va loin, plus le son deviendra brouillon. En tant qu'utilisateur, ce canal m'a offert les saturations de Gary Moore, et des sonorités que je pensais réservées à Mesa Boogie.
Attention, les réglages sont très sensibles (tourner par demi graduation), et interdépendants. Le résultat reflète aussi toutes les caractéristiques de la guitare utilisée, de ses micros, et du jeu du guitariste. Ce qui est optimisé pour une guitare ne le sera pas pour une autre, il est donc conseillé de noter tous ses réglages si on veut les retrouver sans les rechercher à nouveau.
Attention, entre la bonne santé de l'ampli et son haut-parleur de 12", les graves ont une certaine tendance à l'embonpoint, surtout avec des humbuckers. Un réglage autour de 2 semble un maximum quand on utilise beaucoup de médiums, jusqu'à 4 quand on les creuse.
Le Canal 2 :
Plutôt dédié aux sons clairs. On retrouve les même réglages que pour le Canal 1, Volume en entrée, Master en sortie, et les trois boutons d'un autre égaliseur dédié (mais dans un ordre inversé). La préamplification offerte ici ne compresse pas le signal comme avec le Canal 1, et n'offre pas autant de gain, afin de pouvoir obtenir des sons purs et clairs même à haut volume. On retrouve un Notch sur le Médium. On trouve une fonction Bright sur le bouton d'aigus, une sorte de booster d'aigus d'autant plus efficace que le volume monte, qui apporte claquant et Twang'. On trouve un Contour sur le bouton de Basse, qui agit un peu comme un Loudness en poussant un peu les graves, en compressant les médiums et en augmentant un peu les aigus. Et... une fonction Ninja sur le Master! Le Ninja Boost permet d'augmenter volume et gain mais sans modifier les timbres qui restent préservés et en conservant la dynamique et la définition du son. Du gras et du gain, oui, mais à régler avec patience et précision pour obtenir des sons fabuleux.
Compléments communs aux deux canaux: Reverb, Slavemaster, Focus, Presence L'ampli propose une reverb à ressort intégrée, réglable via le bouton Reverb.
Le Slavemaster est dépendant des branchement dans sa boucle d'effets.
Le Slavemaster sans effets branchés agit comme un amplificateur ajouté aux canaux 1 ou 2. Il a deux boutons de contrôle, le Gain pour le taux de distortion, le Level pour ajuster le niveau de sortie par rapport à celui des Canaux. Utilisé ainsi, c'est comme le Ninja, un complément ou une couleur différente apportée en plus à chaque canal.
Avec des effets branchés à l'arrière dans sa boucle Send/Return, on ajoute ces effets à la fonction
Slavemaster, créant ainsi un véritable Canal 3 sur mesure.
On peut aussi envoyer le résultat du Slavemaster dans un autre ampli, une sono,... en branchant un câble dans la prise Slavemaster Send à l'arrière de l'ampli, sans utiliser la prise de Return.
La fonction Focus, en façade, permet à l'amplificateur de gérer activement les mouvements de la membrane du haut-parleur pour la rendre plus raide ou plus souple, avec pour résultat un son plus rond ou plus précis et claquant. Cela permet aussi d'ajuster le son en fonction de l'amortissement d'une salle, par exemple entre les essais à vide, et quand les spectateurs sont arrivés.
La Presence est un contrôle d'aigus en fin d'égalisation du son, après les Volume, Master, Ninja Boost, Slavemaster, etc... pour encore affiner le son final.
• La boucle d'effets
Permet d'envoyer puis recevoir un signal vers un effet, ou une chaîne d'effets. C'est une boucle active avec deux boutons de réglage, pour gérer le niveau d'entrée vers les effets ou leur impédance, et gérer le niveau de retour dans le Rivera. C'est indépendant et différent de la boucle du Slavemaster.
Pour être complet, on trouvera de plus à l'arrière :
Deux prises DIN pour brancher le pédalier Rivera FS-5 à cinq poussoirs
Une prise SPKR 2 pour brancher une enceinte additionnelle à l'ampli
Un Line Out pour envoyer le signal complet mixé vers une sono, ou un système d'enregistrement.
Paul Rivera Combo 20th Anniversary Series
BM100-112
en parfait état de fonctionnement
état cosmetic a 95%
un ampli de rêve pour tout guitaristes connaisseurs
Nous sommes dans les années '70, à Los Angeles, Californie, USA. Mr Paul Rivera travaille chez
FENDER Amplifiers, société où il est en charge de définir les gammes et modèles d'amplificateurs Fender, et en crée même certains. En parallèle, il a sa propre boutique de réparation et de modification d'amplificateurs. CBS a déjà racheté la société Fender depuis 1965. Au début des années '70, CBS décide de passer de l'artisanat à de la production de masse industrielle, et de réduire les coûts. En 1975, CBS vend Fender Amplifiers, et Mr Rivera la quitte. En aout 1976, il crée sa société à Los Angeles, RIVERA Amplifiers.
Il commence à construire ses propres amplificateurs, au début basés sur les concepts Fender, puis s'en affranchit. Sa cible, le marché du haut de gamme alors dominé par Mesa Boogie et Soldano.
BM100-112 puissance de 100 watts, et 1 haut-parleur de 12 pouces.
Cet amplificateur est couvert d'un revêtement en Tolex beige clair, et la toile en façade est brune.
Habituellement, ils sont tout noir... Il s'agit d'un modèle particulier :
C'est l'un des modèles de la gamme "20th Anniversary Series", le 'State of the Art' du savoir-faire de Rivera. Ce modèle particulier a été édité à 250 exemplaires. Il est rarissime.
C'est une première main, il a été acheté neuf par son propriétaire actuel musicien collectionneur (voir facture d'achat)
C'est un ampli tout lampes, avec 4 x EL34 (ou KT77) pour l'amplification, et 5 x 12AX7 (ou ECC83, 6681, 7025) pour la préamplification.
Les tubes ont été changés à neuf avec des tubes Rivera, et sortent d'un rodage de quelques heures.
Description technique :
• Avant toute manipulation, il faut décider du mode de fonctionnement de l'ampli, ce qui aura des conséquences directes sur le son et la puissance délivrée. Les tubes peuvent fonctionner en mode triode ou pentode (sélecteur au dos), à mi-puissance ou à pleine puissance (sélecteur en façade, qui sert également de Stand-By). En mode Triode, la puissance sera de 10 ou 50 watts, on aura un son plutôt rond et chaud. En mode Pentode, elle sera de 25 ou 100 watts, avec un son plus précis et dynamique.
Attention, c'est un ampli à tubes, la puissance réelle est sans rapport avec celle délivrée par un ampli à transistor. Au minimum, 8 watts, avec le volume à 3 (sur 10), on tient déjà aisément face à une batterie, mieux vaut se reculer si on va au-delà, et il est probable que les voisins arrivent pour se plaindre... La pleine puissance est réservée à un local adapté ou à la scène. Mais... les plus beaux sons, en particulier saturés, viennent quand les tubes sont en charge. Pour les avoir à bas volume sonore, on peut utiliser un préamplificateur, de préférence à tubes, avant d'attaquer le préamplificateur du Rivera. Eviter les pédaliers simulateurs d'amplis (Line 6, Mooer,...) ou autre POD, car ils gomme la personnalité des guitares, leur dynamique, et la sensibilité du jeu.
Le Canal 1 :
Dédié aux sons saturés, bien que l'on puisse en tirer de beaux sons clairs ou crunchs. Le Volume est le niveau d'entrée, donc la pré-charge des tubes pour les faire saturer, et plus on monte le niveau, plus on augmentera la compression du son. Le Master gère le niveau de sortie, et permet de faire l'égalisation avec le second canal. Les boutons d'égalisation grave/médium/aigu sont propres à ce canal, et ont une double fonction quand on les tire: Gain 1 permet de saturer avec peu de compression, Gain 2 avec de la compression (ce qui masque l'attaque des cordes et augmente le sustain). Le bouton de réglage des médiums n'est pas classique, il gère en plus un Notch Filter. Le Notch est un filtre coupant une bande de fréquences en laissant passer les fréquences plus hautes et plus basses. Bouton poussé (position normale), la coupure se fait à 550 Hertz pour un son chaud typique des amplis anglais, et est conseillé pour les micros simple bobinage. Bouton tiré, la coupure se fait à 250 Hertz, on a un son plus claquant, parfait pour des rythmiques, plus proche du son des amplis américains.
Quand on utilise une enceinte externe ou un chaînage d'amplificateurs, le Notch permet aussi de corriger la couleur du son qui leur sont propres.
Le Canal 1 permet d'obtenir tous les types de saturations, des plus légères aux plus extrêmes, mais plus on va loin, plus le son deviendra brouillon. En tant qu'utilisateur, ce canal m'a offert les saturations de Gary Moore, et des sonorités que je pensais réservées à Mesa Boogie.
Attention, les réglages sont très sensibles (tourner par demi graduation), et interdépendants. Le résultat reflète aussi toutes les caractéristiques de la guitare utilisée, de ses micros, et du jeu du guitariste. Ce qui est optimisé pour une guitare ne le sera pas pour une autre, il est donc conseillé de noter tous ses réglages si on veut les retrouver sans les rechercher à nouveau.
Attention, entre la bonne santé de l'ampli et son haut-parleur de 12", les graves ont une certaine tendance à l'embonpoint, surtout avec des humbuckers. Un réglage autour de 2 semble un maximum quand on utilise beaucoup de médiums, jusqu'à 4 quand on les creuse.
Le Canal 2 :
Plutôt dédié aux sons clairs. On retrouve les même réglages que pour le Canal 1, Volume en entrée, Master en sortie, et les trois boutons d'un autre égaliseur dédié (mais dans un ordre inversé). La préamplification offerte ici ne compresse pas le signal comme avec le Canal 1, et n'offre pas autant de gain, afin de pouvoir obtenir des sons purs et clairs même à haut volume. On retrouve un Notch sur le Médium. On trouve une fonction Bright sur le bouton d'aigus, une sorte de booster d'aigus d'autant plus efficace que le volume monte, qui apporte claquant et Twang'. On trouve un Contour sur le bouton de Basse, qui agit un peu comme un Loudness en poussant un peu les graves, en compressant les médiums et en augmentant un peu les aigus. Et... une fonction Ninja sur le Master! Le Ninja Boost permet d'augmenter volume et gain mais sans modifier les timbres qui restent préservés et en conservant la dynamique et la définition du son. Du gras et du gain, oui, mais à régler avec patience et précision pour obtenir des sons fabuleux.
Compléments communs aux deux canaux: Reverb, Slavemaster, Focus, Presence L'ampli propose une reverb à ressort intégrée, réglable via le bouton Reverb.
Le Slavemaster est dépendant des branchement dans sa boucle d'effets.
Le Slavemaster sans effets branchés agit comme un amplificateur ajouté aux canaux 1 ou 2. Il a deux boutons de contrôle, le Gain pour le taux de distortion, le Level pour ajuster le niveau de sortie par rapport à celui des Canaux. Utilisé ainsi, c'est comme le Ninja, un complément ou une couleur différente apportée en plus à chaque canal.
Avec des effets branchés à l'arrière dans sa boucle Send/Return, on ajoute ces effets à la fonction
Slavemaster, créant ainsi un véritable Canal 3 sur mesure.
On peut aussi envoyer le résultat du Slavemaster dans un autre ampli, une sono,... en branchant un câble dans la prise Slavemaster Send à l'arrière de l'ampli, sans utiliser la prise de Return.
La fonction Focus, en façade, permet à l'amplificateur de gérer activement les mouvements de la membrane du haut-parleur pour la rendre plus raide ou plus souple, avec pour résultat un son plus rond ou plus précis et claquant. Cela permet aussi d'ajuster le son en fonction de l'amortissement d'une salle, par exemple entre les essais à vide, et quand les spectateurs sont arrivés.
La Presence est un contrôle d'aigus en fin d'égalisation du son, après les Volume, Master, Ninja Boost, Slavemaster, etc... pour encore affiner le son final.
• La boucle d'effets
Permet d'envoyer puis recevoir un signal vers un effet, ou une chaîne d'effets. C'est une boucle active avec deux boutons de réglage, pour gérer le niveau d'entrée vers les effets ou leur impédance, et gérer le niveau de retour dans le Rivera. C'est indépendant et différent de la boucle du Slavemaster.
Pour être complet, on trouvera de plus à l'arrière :
Deux prises DIN pour brancher le pédalier Rivera FS-5 à cinq poussoirs
Une prise SPKR 2 pour brancher une enceinte additionnelle à l'ampli
Un Line Out pour envoyer le signal complet mixé vers une sono, ou un système d'enregistrement.
Seulement 250 pces faites pour le monde entier en 1996
Paul Rivera Combo 20th Anniversary Series
BM100-112
en parfait état de fonctionnement
état cosmetic a 95%
un ampli de rêve pour tout guitaristes connaisseurs
Nous sommes dans les années '70, à Los Angeles, Californie, USA. Mr Paul Rivera travaille chez
FENDER Amplifiers, société où il est en charge de définir les gammes et modèles d'amplificateurs Fender, et en crée même certains. En parallèle, il a sa propre boutique de réparation et de modification d'amplificateurs. CBS a déjà racheté la société Fender depuis 1965. Au début des années '70, CBS décide de passer de l'artisanat à de la production de masse industrielle, et de réduire les coûts. En 1975, CBS vend Fender Amplifiers, et Mr Rivera la quitte. En aout 1976, il crée sa société à Los Angeles, RIVERA Amplifiers.
Il commence à construire ses propres amplificateurs, au début basés sur les concepts Fender, puis s'en affranchit. Sa cible, le marché du haut de gamme alors dominé par Mesa Boogie et Soldano.
BM100-112 puissance de 100 watts, et 1 haut-parleur de 12 pouces.
Cet amplificateur est couvert d'un revêtement en Tolex beige clair, et la toile en façade est brune.
Habituellement, ils sont tout noir... Il s'agit d'un modèle particulier :
C'est l'un des modèles de la gamme "20th Anniversary Series", le 'State of the Art' du savoir-faire de Rivera. Ce modèle particulier a été édité à 250 exemplaires. Il est rarissime.
C'est une première main, il a été acheté neuf par son propriétaire actuel musicien collectionneur (voir facture d'achat)
C'est un ampli tout lampes, avec 4 x EL34 (ou KT77) pour l'amplification, et 5 x 12AX7 (ou ECC83, 6681, 7025) pour la préamplification.
Les tubes ont été changés à neuf avec des tubes Rivera, et sortent d'un rodage de quelques heures.
Description technique :
• Avant toute manipulation, il faut décider du mode de fonctionnement de l'ampli, ce qui aura des conséquences directes sur le son et la puissance délivrée. Les tubes peuvent fonctionner en mode triode ou pentode (sélecteur au dos), à mi-puissance ou à pleine puissance (sélecteur en façade, qui sert également de Stand-By). En mode Triode, la puissance sera de 10 ou 50 watts, on aura un son plutôt rond et chaud. En mode Pentode, elle sera de 25 ou 100 watts, avec un son plus précis et dynamique.
Attention, c'est un ampli à tubes, la puissance réelle est sans rapport avec celle délivrée par un ampli à transistor. Au minimum, 8 watts, avec le volume à 3 (sur 10), on tient déjà aisément face à une batterie, mieux vaut se reculer si on va au-delà, et il est probable que les voisins arrivent pour se plaindre... La pleine puissance est réservée à un local adapté ou à la scène. Mais... les plus beaux sons, en particulier saturés, viennent quand les tubes sont en charge. Pour les avoir à bas volume sonore, on peut utiliser un préamplificateur, de préférence à tubes, avant d'attaquer le préamplificateur du Rivera. Eviter les pédaliers simulateurs d'amplis (Line 6, Mooer,...) ou autre POD, car ils gomme la personnalité des guitares, leur dynamique, et la sensibilité du jeu.
Le Canal 1 :
Dédié aux sons saturés, bien que l'on puisse en tirer de beaux sons clairs ou crunchs. Le Volume est le niveau d'entrée, donc la pré-charge des tubes pour les faire saturer, et plus on monte le niveau, plus on augmentera la compression du son. Le Master gère le niveau de sortie, et permet de faire l'égalisation avec le second canal. Les boutons d'égalisation grave/médium/aigu sont propres à ce canal, et ont une double fonction quand on les tire: Gain 1 permet de saturer avec peu de compression, Gain 2 avec de la compression (ce qui masque l'attaque des cordes et augmente le sustain). Le bouton de réglage des médiums n'est pas classique, il gère en plus un Notch Filter. Le Notch est un filtre coupant une bande de fréquences en laissant passer les fréquences plus hautes et plus basses. Bouton poussé (position normale), la coupure se fait à 550 Hertz pour un son chaud typique des amplis anglais, et est conseillé pour les micros simple bobinage. Bouton tiré, la coupure se fait à 250 Hertz, on a un son plus claquant, parfait pour des rythmiques, plus proche du son des amplis américains.
Quand on utilise une enceinte externe ou un chaînage d'amplificateurs, le Notch permet aussi de corriger la couleur du son qui leur sont propres.
Le Canal 1 permet d'obtenir tous les types de saturations, des plus légères aux plus extrêmes, mais plus on va loin, plus le son deviendra brouillon. En tant qu'utilisateur, ce canal m'a offert les saturations de Gary Moore, et des sonorités que je pensais réservées à Mesa Boogie.
Attention, les réglages sont très sensibles (tourner par demi graduation), et interdépendants. Le résultat reflète aussi toutes les caractéristiques de la guitare utilisée, de ses micros, et du jeu du guitariste. Ce qui est optimisé pour une guitare ne le sera pas pour une autre, il est donc conseillé de noter tous ses réglages si on veut les retrouver sans les rechercher à nouveau.
Attention, entre la bonne santé de l'ampli et son haut-parleur de 12", les graves ont une certaine tendance à l'embonpoint, surtout avec des humbuckers. Un réglage autour de 2 semble un maximum quand on utilise beaucoup de médiums, jusqu'à 4 quand on les creuse.
Le Canal 2 :
Plutôt dédié aux sons clairs. On retrouve les même réglages que pour le Canal 1, Volume en entrée, Master en sortie, et les trois boutons d'un autre égaliseur dédié (mais dans un ordre inversé). La préamplification offerte ici ne compresse pas le signal comme avec le Canal 1, et n'offre pas autant de gain, afin de pouvoir obtenir des sons purs et clairs même à haut volume. On retrouve un Notch sur le Médium. On trouve une fonction Bright sur le bouton d'aigus, une sorte de booster d'aigus d'autant plus efficace que le volume monte, qui apporte claquant et Twang'. On trouve un Contour sur le bouton de Basse, qui agit un peu comme un Loudness en poussant un peu les graves, en compressant les médiums et en augmentant un peu les aigus. Et... une fonction Ninja sur le Master! Le Ninja Boost permet d'augmenter volume et gain mais sans modifier les timbres qui restent préservés et en conservant la dynamique et la définition du son. Du gras et du gain, oui, mais à régler avec patience et précision pour obtenir des sons fabuleux.
Compléments communs aux deux canaux: Reverb, Slavemaster, Focus, Presence L'ampli propose une reverb à ressort intégrée, réglable via le bouton Reverb.
Le Slavemaster est dépendant des branchement dans sa boucle d'effets.
Le Slavemaster sans effets branchés agit comme un amplificateur ajouté aux canaux 1 ou 2. Il a deux boutons de contrôle, le Gain pour le taux de distortion, le Level pour ajuster le niveau de sortie par rapport à celui des Canaux. Utilisé ainsi, c'est comme le Ninja, un complément ou une couleur différente apportée en plus à chaque canal.
Avec des effets branchés à l'arrière dans sa boucle Send/Return, on ajoute ces effets à la fonction
Slavemaster, créant ainsi un véritable Canal 3 sur mesure.
On peut aussi envoyer le résultat du Slavemaster dans un autre ampli, une sono,... en branchant un câble dans la prise Slavemaster Send à l'arrière de l'ampli, sans utiliser la prise de Return.
La fonction Focus, en façade, permet à l'amplificateur de gérer activement les mouvements de la membrane du haut-parleur pour la rendre plus raide ou plus souple, avec pour résultat un son plus rond ou plus précis et claquant. Cela permet aussi d'ajuster le son en fonction de l'amortissement d'une salle, par exemple entre les essais à vide, et quand les spectateurs sont arrivés.
La Presence est un contrôle d'aigus en fin d'égalisation du son, après les Volume, Master, Ninja Boost, Slavemaster, etc... pour encore affiner le son final.
• La boucle d'effets
Permet d'envoyer puis recevoir un signal vers un effet, ou une chaîne d'effets. C'est une boucle active avec deux boutons de réglage, pour gérer le niveau d'entrée vers les effets ou leur impédance, et gérer le niveau de retour dans le Rivera. C'est indépendant et différent de la boucle du Slavemaster.
Pour être complet, on trouvera de plus à l'arrière :
Deux prises DIN pour brancher le pédalier Rivera FS-5 à cinq poussoirs
Une prise SPKR 2 pour brancher une enceinte additionnelle à l'ampli
Un Line Out pour envoyer le signal complet mixé vers une sono, ou un système d'enregistrement.
Zoekertjesnummer: m2255749830
Overige advertenties van Slayerine
Meer van Slayerine
Populaire zoektermen
rivera in Versterkers | Bas en Gitaarmesa boogie in Versterkers | Bas en Gitaarfender in Versterkers | Bas en Gitaaryamaha in Versterkers | Bas en Gitaarvox in Versterkers | Bas en Gitaarpeavey in Versterkers | Bas en Gitaarampeg in Versterkers | Bas en Gitaarlondon city in Versterkers | Bas en Gitaarfad in Versterkers | Bas en Gitaarrandall in Versterkers | Bas en Gitaarfender bassman in Versterkers | Bas en Gitaarengl in Versterkers | Bas en Gitaarbasversterker in Versterkers | Bas en Gitaarmarshall in Versterkers | Bas en Gitaarpeavey 5150 in Versterkers | Bas en Gitaarebs in Versterkers | Bas en Gitaarline 6 in Versterkers | Bas en Gitaarroland jc in Versterkers | Bas en Gitaarroland in Versterkers | Bas en Gitaargratis kastblackmagic in Audio, Tv en Fototopcraft compressorbeeld kuifje hout in Verzamelenzelfnivellerende