Soeur Lutgardis Pirson – E. de Robiano St Vincent rare 1989

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Soeur Lutgardis Pirson – Elisabeth de Robiano – sœurs de Saint-Vincent de Paul - EO 1989 – rare

« Elisabeth de Robiano - Madame Lecandèle, baronne de Ghyseghem 1773-1864»
de Sœur Lutgardis PIRSON

Biographie d’Elisabeth de Robiano, baronne Lecandèle de Ghyseghem, fondatrice des sœurs de Saint-Vincent de Paul de Gijzegem. A l’occasion du 175e anniversaire de la fondation de la congrégation.

Mots-clés : Anvers, Malines Buken, Bruxelles rue Montagne aux Herbes Potagères, Tervuren, Lecandèle de Ghyseghem, comte Charles de Broqueville, Gijzegem château et Spinhuys, mgr de Broglie, abbaye de Postel et De Plein, château de Hertsberge-Oostkamp, etc.

(net) Sœur Lutgardis : nom de religion de Celine Pirson, 1915-1990.
Elisabeth de Robiano, fondatrice des Soeurs de Saint-Vincent de Paul, « Servantes des Pauvres » de Gijzegem.
Elisabeth de Robiano, née à Tervuren le 25 juillet 1773, a été élevée simplement et strictement par ses parents. Elle a vécu à l’époque de la Révolution brabançonne (comptage entre les anciennes classes et le régime autrichien) et de la Révolution française (fin de l’Ancien Régime). Très jeune, elle pensait avoir une vocation monastique, mais elle n’était pas sûre de soi-même. Après la mort de son père, elle a été un véritable soutien et un refuge pour sa mère qui a aidé à élever les quatre autres enfants. À la fin de 1795, la crise était à son apogée, après que les Français avaient définitivement chassé les Ostriens et que la Belgique fut littéralement sacrifiée aux occupants. Il y a eu la famine, l’augmentation de la longévité, le chômage général et le pillage partout. Il y avait beaucoup à faire pour les pauvres et Elisabeth aussi. Le 14 mai 1799, Elisabeth de Robiano épouse le baron Charles Lecandèle. Peu après le mariage, le couple Robiano-Lecandèle s’installe dans le château de Gijzegem. C’est là qu’elle entre en contact avec Monseigneur De Broglie, qui devient son chef spirituel. Il l’a soutenue dans son engagement envers les pauvres et son aide financière aux Jésuites qui fuyaient les troupes de Napoléon à l’époque. En 1812, elle voulait ouvrir un hôpital, mais les malades préfèrent être soignés chez eux par la baronne. Afin de répondre aux problèmes de pauvreté et de mauvaise éducation des classes pauvres, caractéristiques de la situation socio-économique difficile de la région d’Alost, elle fondait, encouragée par Monseigneur de Broglie, une école (type de l’école de filature ou de travail) pour enfants pauvres. L’école était située dans une maison de la famille Lecandèle dans la Dorpsstraat à Gijzegem. L’école de filature a connu un succès immédiat. A cette époque, il y avait dix novices dans la communauté. En 1823, cinq ans après la fondation de l’école des pauvres, 45 sœurs étaient déjà entrées ! L’expansion de la Congrégation n’a vraiment décollé qu’après l’indépendance belge. En 1835, les soixante-dix premières sœurs ont pu prononcer leurs vœux perpétuels. Après le départ de la fondatrice, Sœur Marie-Louise De Wilde a été élue première Supérieure générale de la Congrégation. A la mort de la fondatrice, le 8 septembre 1864, la Congrégation comptait 222 sœurs et 32 communautés, réparties dans 4 diocèses belges.

Gembloux, Duculot, EO 1989, 246 pages, poids total : 399 grammes.

Avec des illustrations hors texte. Avec un Arbre généalogique. Avec une Bibliographie.

Classique état d’usage de la couverture et bel état général. Selon mes photos.

Petit prix sympa pour cette intéressante source documentaire.
Zoekertjesnummer: m1966603650