je met en vente cette œuvre d art de Mr gilioli émile ,elle est en parfait état de conservation ,le plexiglass ne montre aucune rayures, ni accidents,
les mesures indiquées sont celles du boitier en plexi ,donc je vous donne aussi celle de la sculpture elle même
hauteur 7.5cm, socle noir longueur 7cm,largeur 2.2cm,
j ai mis une photo correspondant a mes recherches sur internet concernant une œuvre similaire car c est une sculpture a 24 exemplaires ,je vous promet d être assez raisonnable sur le prix de réserve....
merci de votre attention et bonne vente !!


voici une petite biographie pour vous familiariser avec l auteur
Émile Gilioli est né dans une famille de cordonniers italiens qui s'étaient installés à côté du Canal Saint-Martin. Après le Première Guerre mondiale, la famille est retournée en Italie et s'est installée Nice.

En 1932, Gilioli suit des cours à l'École des Arts Décoratifs de Nice, notamment avec la future artiste Marie Raymond.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Gilioli l'était mobilisé dans Grenoble où il passa le reste du conflit. Il fit la connaissance d'Andry-Fracy, conservationniste au Grenoble Musée des beaux-arts, et l'amène à découvrir cubisme.

Après la guerre, Gilioli s'installe Saint-Martin-de-la-Cluze près de Grenoble, où il sculpte dans son atelier. Son art était associé d'une certaine manière aux actes du Résistance française. Il se lie d'amitié avec Thomas Gleb. Il conseille à son ami Georges Ladrey, qui souhaite quitter les Alpes pour Paris avec l'intention de perfectionner ses compétences dans une école d'art, de développer sa vision artistique personnelle, jugeant que sa technique était suffisamment raffinée.

En 1947, Gilioli expose dans le salon des réalités nouvelles à Paris.

En 1949, Gilioli participe au premier Sculpture du Salon de la jeune dans le jardin et la chapelle de la Musée Rodin à Paris. Le premier salon y ont participé 63 sculpteurs dont Gilioli, Emmanuel Auricoste, Étienne Hajdu, Baltasar Lobo et Berto Lardera.

À partir de 1954, Gilioli participe à des expositions collectives avec d'autres artistes comme Étienne Martin, Alicia Penalba, François Stahly et Simone Boisecq.

En 1997 pour marquer le 20e anniversaire de la mort de Gilioli, la municipalité de Saint-Martin-de-la-Cluze décide d'acquérir la maison et l'atelier de Gilioli, respectant le souhait exprimé par son épouse Babet de créer un espace dédié à la mémoire de l'artiste. En 2004, l'atelier/maison a été transformé en musée/bibliothèque qui accueille une exposition permanente présentant l'œuvre de Gilioli.