Beschrijving

Oeuvre originale unique - 60 x 80cm
Possibilité de créer des assortiments avec les autres oeuvres issues de cette même série.
Acrylique sur toile
Localisation actuelle : Normandie, France
En direct de l'atelier
Valeur - Cote : 1200€ (exposition de cette série à Paris).

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Sur l'artiste Anaïs LF

Une artiste émergente à dimension internationale :
Anaïs, née en 1997 à Granville (Normandie), est déjà collectionnée dans 18 pays, parmi lesquels la France, l’Italie, la Belgique, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Espagne, et jusqu’aux Émirats-Arabes-Unis.

Cela en fait une artiste dont la portée dépasse largement les frontières, et rassure les acheteurs quant à la dynamique de sa carrière.


Une démarche artistique profondément humaine et symbolique :
Sa peinture abstraite, intuitive et émotionnelle, repose sur une liberté créatrice organique — souvent sans pinceaux, où l’eau devient médium, inspirée par sa relation intense à la mer

Les thèmes abordés — rencontres, identité, deuil, liberté — sont universels et résonnent émotionnellement, sans jamais imposer de récit, mais invitent à la réflexion personnelle et au dialogue intérieur



Une démarche académique engagée:
Titulaire d’un double master en sciences de l’information, communication et en sociolinguistique, elle apporte une profondeur intellectuelle à son art, nourrie par des réflexions sur l’égalité, la diversité et les transformations des relations à l’ère numérique Anaïs lf.

Cette double compétence rend son œuvre crédible, riche de sens, et engage par la connexion entre art et société.

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Sur cette série :

Cette série fait partie des plus connues de l'artiste Anaïs LF, exposée récemment à Paris.

Inspirée par les bleus méditerranéen, des notions plus design, et sûrement le courant Colorfield, cette série utilise des aplats de couleurs vives, notamment le bleu Majorelle et le bleu Klein, en contraste avec le noir et le blanc. Utilisant des techniques variées, l'artiste crée des couches épaisses de peinture, explorant les contrastes et redonnant vie et espoir à travers la couleur bleue.


Un bleu qui fait renaître
Ces pigments sont si difficiles à imiter. Si elle recherche sa tonalité avec des mélanges d’autres pigments, elle n’arrive jamais vraiment à la même clarté ; si elle désire la clarté, il faut sacrifier la saturation. En passant quelques jours à Marseille, elle devient indéniablement attirée par l’électricité du bleu, à côté du noir. Le blanc, le noir et le bleu se contrastent. Pendant longtemps, on lui a demandé de peindre du bleu. Jusque-là, elle n’avait peint que l'œuvre “Pacification”, aux tonalités bleues et dorées.

Mais dans un registre plus franc, plus épuré, plus minimaliste et avec plus de caractère également, ce bleu parcourt l’ensemble de cette série. Il rend vivant. Il est en ce sens, la première couleur qu'elle peint à nouveau après la série outrenoire. Il fait renaître. Il redonne de l’espoir.

Elle ne peint pas le noir pour le noir, mais pour les contrastes. À côté du noir, le blanc ou encore le bleu deviennent plus blancs et plus bleus.


Un bleu qui fait renaître
Ces pigments sont si difficiles à imiter. Si elle recherche sa tonalité avec des mélanges d’autres pigments, elle n’arrive jamais vraiment à la même clarté ; si elle désire la clarté, il faut sacrifier la saturation. En passant quelques jours à Marseille, elle devient indéniablement attirée par l’électricité du bleu, à côté du noir. Le blanc, le noir et le bleu se contrastent. Pendant longtemps, on lui a demandé de peindre du bleu. Jusque-là, elle n’avait peint que l'œuvre “Pacification”, aux tonalités bleues et dorées.



Mais dans un registre plus franc, plus épuré, plus minimaliste et avec plus de caractère également, ce bleu parcourt l’ensemble de cette série. Il rend vivant. Il est en ce sens, la première couleur qu'elle peint à nouveau après la série outrenoire. Il fait renaître. Il redonne de l’espoir.


Elle ne peint pas le noir pour le noir, mais pour les contrastes. À côté du noir, le blanc ou encore le bleu deviennent plus blancs et plus bleus.


Processus créatif : des premières couches lisses et brillantes, puis des sillons profonds et des entrelacs complexes.

Dans cette série, elle multiplie de nouvelles techniques. Après la manipulation des pinceaux dans sa série Le Chemin, Les Vagues, elle maîtrise dès lors de nouveaux matériaux. Elle a recours notamment aux gros rouleaux de scotch. Elle alterne entre plusieurs types de pinceaux : des plats, des ronds, des larges, des plus fins pour les rebords. Elle utilise souvent, notamment au centre des tableaux, des couteaux qui lui permettent de faire glisser la peinture sur la toile. Ce qui est saisissant et réconfortant dans ces techniques, c’est la manière dont elle applique de grosses couches de peintures qu'elle étire très peu, et qu'elle appuie légèrement avec un couteau pour qu’elles s’étalent à peine. Les couches de bleu sont souvent très épaisses, tandis que le noir est presque toujours étiré. En effet, les zones noires sont lisses, s’intègrent dans la toile pour laisser percevoir l’alternance du coton de la toile et de la peinture noire. Toujours avec de la peinture acrylique, ces zones de peinture noire donnent presque l’impression de zones peintes à l’encre noire.


Pour en savoir plus sur l'artiste : www.anaislf.com / IG : @anaislf.art

Zoekertjesnummer: a15318877300sinds 14 aug. '25, 05:01