Gianfranco Zenerato - TECHNOLOGICAL CONTAMINATION - XL

IDÉAL POUR L'INVESTISSEMENT
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www.zenerato.com

CONTAMINATION TECHNOLOGIQUE
La nature devient interface : encadrée par une fenêtre numérique, on ne l'admire plus, on l'élabore. En haut à droite, le curseur brise l'illusion picturale : nous sommes à l'intérieur d'un système, observés autant que nous observons. Le paysage est un simulacre, la réalité est médiatisée.
En première ligne, objets-symbole de notre temps - CD, pomme, roses coupées - racontent la beauté contaminée, la mémoire archivée, l'hybridation irréversible entre l'humain et la machine.
Pourquoi l'acheter
Parce que ce n'est pas un tableau, c'est une idée.
Une icône critique du présent, destinée à ceux qui cherchent dans l'art non seulement une vision, mais une révélation.

Certificat d'archivage international - Certificat d'authenticité signé par l'auteur - dossier contenant le parcours artistique de l'artiste
Pièce unique de grande taille peinte à la main - Huile sur toile déjà montée sur un cadre en bois - dimensions totales avec cadre 110x100x4 - 2002
Prête à être suspendue - Magnifique cadre blanc travaillé inclus (comme sur la photo).

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GIANFRANCO ZENERATO (Artiste Professionnel - Italie)
Actif depuis 1990, il a entrepris un parcours artistique qui l'a conduit à participer à plus de 600 événements artistiques, recevant des récompenses nationales et internationales pour la qualité de ses œuvres. Avec plus de 500 prix à son actif, ses créations enrichissent des collections publiques et privées de renom en Italie, en Europe, en Amérique et en Asie. Il a exposé aux côtés de maîtres tels qu'Antonio Nunziante, Athos Faccincani, Alfonso Borghi, Giuseppe Menozzi, Giampaolo Talani, Saturno Buttò, etc.

Actuellement, il collabore avec le célèbre critique d'art, le Prof. Giammarco Puntelli.

Certain critiques de la part d'experts célèbres du secteur :

Gianfranco Zenerato appartient à cette mouvance d'artistes des années soixante-dix, sévères messagers envers la société occidentale. Tandis que le milanais Antonio Recalcati et le romain Franco Mulas exprimaient une colère sociale, Zenerato, au contraire, est porteur d'un avertissement poignant, où la défaite de l'homme peut également représenter la porte d'entrée d'une rédemption laïque. Il s'agit d'une vision riche de significations symboliques, d'un peintre de l'école moderne, qui, avec talent, sait concilier recherche et expérimentation.

On se rend compte en regardant cette image emblématique qu'il s'agit d'une invitation à méditer sur la beauté d'une nature morte, d'une fleur et d'une jeune femme. Laclassicité de ces images silencieuses rompt l'atmosphère suspendue d'un monde gris, celui contemporain, qui nous détourne du rêve. (Paolo Levi)

Dans ce message visuel à la fois inquiétant et explicite, le dialogue entre l'essentiel chromatique et l'harmonie des formes témoigne de la tension expressive et du savoir-faire d'un artiste habile. La fusion entre fleurs, fruits et objets technologiques de la contemporanéité est intéressante et inédite. (Stefania Bison)

Gianfranco Zenerato élabore des narrations symboliques qui dévoilent, étape par étape, les possibilités infinies d'un imaginaire fertile, organisé selon des séquences ordonnées de ses propres élaborations mentales. Ses constructions fantasques pourraient donc, en somme, troubler le jugement critique en le qualifiant de surréaliste. Ce n'est pas exact, car il ne nous propose pas un imaginaire absurde et irréel, mais au contraire, il peint une réalité qui nous est familière, avec un but toutefois communicatif et hautement symbolique. (Sandro Serradifalco)

Cette peinture de Gianfranco Zenerato est techniquement bien structurée, finement et richement articulée, et propose la réalité construite par l'esprit d'un visionnaire. Ses œuvres ont une forte composante scénographique et à celui qui scrute ces messages, il reste à déchiffrer quelle signification leur a attribuée l'auteur. En effet, il joue avec des symboles et des références et s'amuse à brouiller les coordonnées interprétatives de ce qui peut être l'entrelacs d'une histoire camouflée d'irréalité. (S. Russo)

Avec Gianfranco Zenerato, nous avons une excellente idée, transformée avec une grande capacité en une représentation d'attente, où la modernité rencontre un temps qui n'existe plus pour nous faire retrouver les sentiments... (Giammarco Puntelli)


L'artiste mise sur la superposition et l'intersection des genres, sur une recherche allusive et métaphorique incisive dans les sujets et les couleurs. Avec une intuition fulgurante, il unifie le passé (nature morte), le présent (l'image féminine) et le futur (le symbolisme, l'écriture cryptée ...) de sorte que l'œuvre devient un paradigme artistique mais aussi littéraire et métanarratif. Il importe au peintre d'identifier un nouvel univers visuel, d'explorer les limites de l'iconographie traditionnelle pour démontrer à quel point la peinture aujourd'hui — parmi tant de bruit — demeure une discipline originale. La créativité de l'artiste réaffirme alors — grâce aussi aux couleurs vives — que l'approche liée au genre a toujours droit de cité dans la peinture du XXIe siècle.

La peinture de Gianfranco Zenerato nous conduit à une vision de la réalité opérée sur trois niveaux. C'est un voyage dans le temps que nous allons entreprendre avec l'artiste, qui à travers diverses expérimentations est parvenu au fil des ans à situer sa vision dans un présent qui "regarde" vers le passé comme un monde idéal, mais désormais perdu, et vers un avenir rempli de contaminations artificielles et artificielles.
C'est un avertissement et un rappel que le message transmis par les éléments entourant la toile et délimitant sa vision d'ensemble. La "batterie" que l'on retrouve comme élément fixe nous dit «attention», le temps est sur le point de s'écouler, et l'appel fort d'éléments naturels placés en premier plan, contaminés par des objets du monde technologique (la souris, le CD ou le réveil), souligne combien il est important de ne pas couper le lien avec le passé, avec un monde où la nature était prédominante.
L'élément féminin, placé sur le plan temporel du présent, représente l'archétype de la mère-Terre située dans la terre du milieu entre le passé et le futur.
Gianfranco comme un Ulysse voyage dans cette dimension temporelle, à la recherche des forces qui nous soutiennent et nous façonnent, altèrent ou gouvernent notre destin. Poussé vers l'avenir, l'homme-artiste affronte le voyage avec force et détermination, mais se rend ensuite compte de sa propre fragilité face à la complexité d'un monde qu'il a créé, celui technologique, qui lui échappe et ressent donc la nécessité de revenir d'où il est parti. C'est ainsi que la cyclicité revient, où le voyage est cette invitation éternelle à la vie et à la mort. Nous devrons revenir au point de départ pour nous retrouver, et la figure féminine devient alors le symbole de celle qui nous permet de renaître.
Les mots « partire » et « partorire » évoquent tous deux le concept de séparation et de détachement, et dans chaque voyage entrepris par Gianfranco Zenerato, il y a cette référence temporelle circulaire, ce départ puis ce retour. Lorsque nous regardons vers l'avenir, nous ne pouvons que tourner notre regard vers le passé pour éviter de perdre nos racines et d'être déshumanisés par le monde technologique et post-technologique.
Chaque voyage met au même niveau rationalité et émotions, suscite des doutes et des peurs, les rythmes de la vie quotidienne se déforment et prennent des significations différentes.
Avancer vers l'avenir devient un défi, saisi par le regard féminin, mais aussi un danger, car il représente presque une perte d'identité. Partir implique de se séparer de son « ancien soi », fait d'habitudes, de rôles et de certitudes. Partir, cependant, est une liberté, et même si celle-ci est limitée car elle implique d'affronter l'inconnu, elle parvient à restaurer l'ordre du passé. Le changement de perspective devient centrifuge et centripète ; le flux d'expansion est la direction vers laquelle on va, tandis que le point d'appui de contraction est la direction d'où l'on vient. Dans les œuvres de Zenerato, on éprouve ce sentiment de partir d'un endroit et de se diriger vers un autre. Au centre se trouve la figure féminine, point de référence : elle est la conscience de l'artiste, le cœur du voyage, avec ses rythmes, ses bruits, ses temps, ses difficultés, ses découvertes et ses émotions.
Le plan temporel du futur qui représente l'arrivée est, dans certaines œuvres, déshumanisé, et la figure féminine est presque émiettée parce que l'artiste lui-même ne se reconnaît pas dans cette position : c'est comme si la perte d'identité était une résignation inconsolable à la perte de connexion avec le passé et même les éléments des natures mortes deviennent, dans certains cas, presque absents et éclipsés par les éléments technologiques.
Il devient alors essentiel de se protéger de ce futur qui avance dangereusement et de manière presque incontrôlable, et de se réfugier dans quelque chose de connu et d’ancien où même les « illusions sont réelles ».
Avec Gianfranco Zenerato, nous avons véritablement l'opportunité de voyager à travers les rêves, les signes et les symboles, où chacun de nous se verra reflété dans un miroir. Partir avec lui signifiera obscurcir temporairement ces miroirs, en attendant de découvrir une autre image de nous-mêmes. Nous trouverons peut-être notre essence, nous réaliserons la relativité de nos valeurs et de nos points de vue, ainsi que de ceux des autres. Nous pourrons nous perdre et nous retrouver, prenant conscience d'une nature, d'un destin et d'une identité communs. (Gaetana Foletto)

L'artiste, partant de l'Antiquité classique avec un langage figuratif pré-abstrait, déplace le curseur mobile de sa conscience naissante du développement sur la toile de fond de son cosmos intérieur et historicisant, jusqu'aux urgences extrêmes du présent, soumettant sa technique apprise à l'énergie des rêves, des signes, des symboles et surtout de la couleur, riche de clarté et de pureté timbrale, pour interagir également avec le présent technologique. Sa modernité est authentiquement psychologique et exprime intensément son pouvoir expressif de variables, depuis les citations transavant-gardistes de la fin du XXe siècle… avec des superpositions de perspectives à la Caravage… jusqu'à la psychologie moderne d'extraction post-Renaissance (Rembrandt…). Zenerato possède un potentiel créatif qui couvre un vaste spectre historique, sachant le combiner poétiquement, assemblant et faisant vibrer la lyre de la poésie de l'âme sur les coordonnées de l'histoire de l'art en valeurs universelles, et scrutant le curseur de son évolution imaginative infinie, à travers l'hyperréalisme de son rêve visionnaire, une fenêtre ouverte sur la raison. en dialogue avec le présent. (Prof. Alfredo Pasolino)

Ses recherches sont très intéressantes : la figuration réalise des effets scénographiques dans un espace où vibre une fréquence symbolique, confiée tantôt au rêve, tantôt au mythe, tantôt à la réalité quotidienne, le tout harmonisé par un splendide jeu de couleurs.


L'artiste de la rigueur et de la modernité
Édité par Francesco Cairone


Les auteurs les plus originaux ne le sont pas parce qu’ils promeuvent ce qui est nouveau, mais parce qu’ils présentent ce qu’ils ont à dire de telle manière qu’il semble que cela n’a jamais été dit auparavant.
(Goethe)


Il est nécessaire de partir de cette phrase incisive de Goethe pour évoquer la peinture riche et novatrice de Gianfranco Zenerato. Car cette simple phrase révèle une vérité fondamentale : désormais, tout a été fait en peinture et l'artiste qui cherche à conquérir sa propre individualité, sans se laisser influencer par les courants et les maîtres du passé, doit surmonter d'énormes obstacles. Comme l'affirmait également Giorgio Morandi, « Il n'y a rien, ou très peu, de nouveau dans le monde », et donc, pour être original, il faut peindre en tenant compte des évolutions sociales, technologiques et scientifiques.

On dit que l'art appartient à tous, mais il n'est pas pour tout le monde. Chacun a donc le droit d'être ému par un chef-d'œuvre. Cependant, peindre et créer sont un don que Dieu n'a accordé qu'à quelques privilégiés. Ils sont capables de voir ce que d'autres ne perçoivent souvent pas, et de transformer les émotions qui naissent de petites choses – d'un geste, d'une caresse, d'un regard – en des tons vibrants qui colorent la grisaille du monde qui nous entoure.
Parmi ces heureux élus, il faut sans aucun doute compter le Maestro Zenerato, un artiste d'un talent rare, qui allie minutie, rigueur et imagination dans un style pictural qui, tout en rappelant les maîtres du passé, démontre qu'il a su tirer profit des leçons de la peinture fine, empruntant aux plus grands une technique impeccable. Pourtant, son caractère unique et son individualité transparaissent dans la touche de modernité élégante présente dans chacune de ses créations, faisant de lui une rare exception dans le panorama artistique national.
Des paniers de fleurs et de fruits mûrs et luxuriants, disposés sur de hauts murs de marbre usés par le temps et souvent marqués par les dessins amoureux de deux jeunes amoureux, s'entremêlent à des objets modernes du quotidien, tels qu'un CD-ROM, une souris et une spatule, qui forment un lien entre passé, présent et futur. Le paysage environnant, presque toujours saisi au crépuscule, lorsque le rayon vert salue le soleil et accueille la lune, renforce encore ce que Zenerato proclame sur les panneaux de marbre du premier plan, où une couleur de plus en plus vive oscille entre le rouge, le jaune, le vert et toutes les nuances les plus chaudes de l'arc-en-ciel.
Et l'arc-en-ciel semble éclipser la carrière de ce jeune artiste prometteur, écrivain en prose d'art car il a créé un style d'abord poétique puis pictural, avec lequel il parvient à représenter ce qu'il ressent, filtrant la laideur et la négativité que notre monde apporte avec lui.

Ils ont écrit à son sujet ou ont jugé ses œuvres.

Paolo Levi, Paolo Rizzi, Giammarco Puntelli, Giorgio Grasso, Sergio Capellini, Pietro Gasperini, François Buisson, R. Boschi, Michele Nocera, Carlo Alberto Gobbetti, Antonella Gotti, Gianni Ingolia, Dino Pasquali, Umberto Zaccaria, Umberto Tessari, Ottorino Stefani, Giulio Gasparotti, Carlo Federico Teodoro, Carlo Rigoni, Giorgio Trevisan, Vera Meneguzzo, Claudio Radaelli, Grillo Biagio, Luca Dall'olio, Franco Brescianini, Giovanni B. Bianchini, Mara Frignani, Aldo Tavella, Angelo Marchiori, Walter Coccetta, Paolo Baratella, Luciano Chinois, Luigi Consonni, Giuseppe Possa, Silvano Valentini, Siro Perin, Alfredo Pasolino etc...

Il a collaboré avec les galeries suivantes :

Galerie CD Art Studio
Galerie New Dimensione Arte
Galerie Emmediarte
Galerie La Spadarina
La Galerie de l'Artiste
Galerie Arttime
Galerie Orler