Gianfranco Zenerato - BETWEEN PAST AND PRESENT - XL

IDÉAL POUR INVESTISSEMENT
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www.zenerato.com
Certificat d'archivage international - Certificat d'authenticité signé par l'auteur - Dossier contenant le parcours artistique de l'artiste
Grande pièce unique peinte à la main - Huile sur toile déjà marouflée sur châssis en bois - Dimensions totales cadre compris 100x120x3,5 - 2010
Prêt à accrocher - Magnifique cadre baroque blanc inclus (comme sur la photo).
COLLECTION DE L'ARTISTE
L'œuvre « Entre passé et présent » joue sur une dialectique forte entre tradition et contemporanéité, explorant la relation entre l'art classique et le processus créatif moderne. La figure féminine, peinte avec un rendu anatomique qui rappelle le classicisme, semble émerger d'un fond riche en stratifications textuelles et matérielles, évoquant la notion de mémoire et de transformation.
Au premier plan, la nature morte avec des fruits et un CD crée un contraste symbolique entre éléments intemporels et objets liés à la modernité. La présence de la spatule et du tube de couleur souligne l'acte pictural lui-même, rappelant le métier d'artiste et la valeur du savoir-faire manuel à une époque de plus en plus dominée par le numérique. Le résultat est une œuvre qui reflète la persistance de la tradition dans l’art contemporain et la tension continue entre passé et présent dans la création artistique.
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GIANFRANCO ZENERATO (Artiste Professionnel - Italie)
Actif depuis 1990, il a entrepris un parcours artistique qui l'a conduit à participer à plus de 600 événements artistiques, recevant des récompenses nationales et internationales pour la qualité de ses œuvres. Avec plus de 500 prix à son actif, ses créations enrichissent des collections publiques et privées de renom en Italie, en Europe, en Amérique et en Asie. Il a exposé aux côtés de maîtres tels qu'Antonio Nunziante, Athos Faccincani, Alfonso Borghi, Giuseppe Menozzi, Giampaolo Talani, Saturno Buttò, etc.
Actuellement, il collabore avec le célèbre critique d'art, le Prof. Giammarco Puntelli.
Quelques critiques de la part d'experts reconnus du secteur :
Gianfranco Zenerato appartient à ce courant d’artistes des années 70, messagers sévères envers la société occidentale. Alors que le Milanais Antonio Recalcati et le Romain Franco Mulas expriment une colère sociale, Zenerato est au contraire porteur d’un avertissement poignant, où la défaite de l’homme peut aussi représenter l’antichambre d’une rédemption séculaire. Il s'agit d'une vision chargée de significations symboliques, d'un peintre de l'école moderne, qui sait avec talent concilier recherche et expérimentation. (Paul Lévi)
Nous nous rendons compte que cette image emblématique nous offre une sorte d’invitation à méditer sur la beauté d’une nature morte, d’une fleur et d’une jeune femme. Le classicisme de ces images muettes interrompt l’atmosphère suspendue d’un monde gris, celui du contemporain, qui nous distrait du rêve. (Paul Lévi)
Dans ce message visuel dérangeant mais explicite, le dialogue entre l’essentialité chromatique et l’harmonie des formes témoigne de la tension expressive et de la maîtrise d’un artiste talentueux. Le mélange de fleurs, de fruits et d'objets technologiques contemporains est intéressant et original. (Stefania Bison)
Gianfranco Zenerato élabore des récits de signes qui révèlent, étape par étape, les possibilités infinies d’une imagination fertile, organisées selon des séquences ordonnées de ses propres élaborations mentales. Ses constructions imaginatives pourraient donc confondre le jugement critique et le définir comme un surréaliste. Ce n’est pas correct, car il ne propose pas un imaginaire absurde et irréel, mais au contraire, il peint une réalité qui nous est familière, mais avec un but communicatif et hautement symbolique. (Sandro Serradifalco)
Cette peinture de Gianfranco Zenerato est techniquement bien structurée, finement et richement articulée, et propose la réalité construite par l'esprit d'un visionnaire. Ses œuvres ont une forte composante scénographique et à celui qui scrute ces messages, il reste à déchiffrer quelle signification leur a attribuée l'auteur. En effet, il joue avec des symboles et des références et s'amuse à brouiller les coordonnées interprétatives de ce qui peut être l'entrelacs d'une histoire camouflée d'irréalité. (S. Russo)
Avec Gianfranco Zenerato, nous avons une excellente idée, transformée avec beaucoup d'habileté en ce qui est une figuration de l'attente, où la modernité rencontre un temps qui n'existe plus pour nous faire rencontrer à nouveau des sentiments... (Giammarco Puntelli)
L’auteur se concentre sur le chevauchement et l’intersection des genres, sur une recherche allusive et métaphorique, incisive dans les sujets et les couleurs. Avec une intuition géniale, il unifie le passé (la nature morte), le présent (l'image féminine) et le futur (le symbolisme, l'écriture cryptique...) pour que l'œuvre devienne un paradigme artistique mais aussi littéraire et métanarratif. Le peintre s’attache à identifier un nouvel univers visuel, à explorer les limites de l’iconographie traditionnelle pour démontrer comment la peinture d’aujourd’hui – au milieu de tout ce bruit – est toujours une discipline originale. La créativité de l'artiste réaffirme alors - grâce aussi aux couleurs vives - comment l'approche liée au genre a encore droit de cité dans la peinture du XXIe siècle.
La peinture de Gianfranco Zenerato nous conduit à une vision de la réalité opérée sur trois niveaux. C'est un voyage dans le temps que nous allons entreprendre avec l'artiste, qui, à travers diverses expériences, est parvenu au fil des années à placer sa vision dans un présent qui « regarde » le passé comme un monde idéal, mais désormais perdu, et dans un futur plein de contaminations artificielles et artificielles.
Le message qui ressort des éléments placés sur la toile pour esquisser sa vision globale est un avertissement et un rappel. La "batterie" que nous trouvons comme élément fixe, nous dit "attention", le temps presse, et l'appel fort des éléments naturels placés au premier plan, contaminés par des objets du monde technologique (la souris, le CD ou le réveil) soulignent combien il est important de ne pas rompre le lien avec le passé, avec un monde dans lequel la nature était prédominante.
L'élément féminin, placé sur le plan temporel du présent, représente l'archétype de la Terre Mère placé à mi-chemin entre le passé et le futur.
Gianfranco, tel un Ulysse, voyage dans cette dimension temporelle, à la recherche des forces qui nous soutiennent et nous façonnent, modifient ou gouvernent notre destin. Poussé vers l'avenir, l'homme-artiste affronte le voyage avec force et détermination, mais il se rend alors compte de sa propre fragilité face à la complexité d'un monde qu'il a créé, celui technologique, qui lui échappe des mains et il ressent alors le besoin de revenir là d'où il est parti. Ainsi revient la nature cyclique dans laquelle le voyage est cet appel éternel à la vie et à la mort. Il faudra revenir au point de départ pour se retrouver et la figure féminine devient alors le symbole de celle qui nous permet de renaître.
Les mots « partir » et « partorire » contiennent tous deux le concept de séparation et de détachement et dans chaque voyage entrepris par Gianfranco Zenerato, il y a cette référence temporelle circulaire, ce départ puis ce retour. Lorsque nous regardons vers l’avenir, nous n’avons d’autre choix que de tourner notre regard vers le passé pour ne pas perdre nos racines, pour ne pas nous laisser déshumaniser par le monde technologique et post-technologique.
Chaque voyage met au même niveau rationalité et émotions, suscite doutes et peurs, les moments du quotidien sont déformés et prennent des significations différentes.
Aller vers le futur devient un défi, capturé dans le regard féminin, mais aussi un danger car c'est presque une perte d'identité. En partant, il faut faire face à la séparation d'avec son « ancien moi », fait d'habitudes, de rôles et de certitudes. Partir, c'est la liberté, et même si elle est limitée car on part vers l'inconnu, elle parvient à mettre de l'ordre dans le passé. La perspective en mouvement devient centrifuge et centripète, le flux d'expansion est la direction dans laquelle on va, tandis que le point d'appui de contraction est la direction d'où l'on vient et dans les œuvres de Zenerato on a cette sensation de venir d'un endroit et de se diriger vers un autre. Au centre se trouve la figure féminine comme point de référence : c'est la conscience de l'artiste, le cœur du voyage, avec ses rythmes, ses bruits, ses temps, ses difficultés, ses découvertes et ses émotions.
Le plan temporel du futur que représente l'arrivée est, dans certaines œuvres, déshumanisé, et la figure féminine est presque émiettée car l'artiste lui-même ne se reconnaît pas dans ce placement : c'est comme si la perte d'identité était une résignation désolée à la perte des liens avec le passé et même les éléments des natures mortes deviennent, dans certains cas, presque absents et éclipsés par ceux technologiques.
Il devient alors essentiel de se protéger de ce futur qui avance dangereusement et de manière presque incontrôlable, et de se réfugier dans quelque chose de connu et d'ancien où même « les illusions sont réelles ».
Avec Gianfranco Zenerato, nous avons véritablement la possibilité de voyager à travers les rêves, les signes et les symboles, où chacun de nous se verra reflété dans un miroir. Partir avec lui signifiera obscurcir temporairement ces miroirs en attendant de découvrir une autre image de nous-mêmes. Nous retrouverons peut-être notre essence, nous prendrons conscience de la relativité de nos valeurs et de nos points de vue et de ceux des autres. Nous pouvons nous perdre et nous retrouver ensuite, en réalisant une nature commune, un destin commun, une identité commune. (Gaetana Foletto)
L'artiste, à partir du passéisme classique avec un langage de pré-abstraction figurative, sur le fond de son cosmos historicisant intérieur, porte le curseur mobile de sa conscience émergente en développement, jusqu'aux urgences extrêmes du présent, soumettant sa technique savante à l'énergie du rêve, du signe, du symbole et surtout à celle de la couleur, riche de clarté et de pureté de timbre, pour interagir également avec le présent technologique. Sa modernité est véritablement psychologique et une expression intense de sa charge expressive de variables du citationniste transavant-gardiste de la fin du XXe siècle et au-delà... avec des superpositions de perspectives à la Caravage... et de la psychologie moderne d'extraction post-Renaissance (Rembrandt...). Zenerato a un potentiel créatif de vaste portée historique, sachant les combiner poétiquement, en les assemblant, en faisant vibrer la lyre de la poésie de l'âme sur les coordonnées de l'histoire de l'art en valeurs universelles, et en scannant sur le curseur de son évolution imaginative infinie, à travers l'hyperréalisme de son rêve visionnaire, une fenêtre ouverte ajoutée à la raison. dialoguer avec le présent. (Professeur Alfredo Pasolino)
Ses recherches sont très intéressantes : la figuration réalise des effets scénographiques dans un espace où vibre une fréquence symbolique, confiée de temps à autre aux rêves, aux mythes ou à la réalité quotidienne, le tout harmonisé par un splendide jeu de couleurs.
L'artiste de la rigueur et de la modernité
Édité par Francesco Cairone
Les auteurs les plus originaux ne le sont pas parce qu’ils promeuvent ce qui est nouveau, mais parce qu’ils présentent ce qu’ils ont à dire de telle manière qu’il semble que cela n’a jamais été dit auparavant.
(Goethe)
Il faut partir de la phrase incisive de Goethe pour parler de la peinture riche et innovatrice de l'artiste Gianfranco Zenerato, et cela parce qu'à travers cette simple phrase on dit une grande vérité, c'est qu'en peinture tout a été fait et aujourd'hui l'artiste qui essaie de conquérir sa propre individualité, sans être influencé par les courants et les Maîtres du passé, doit surmonter d'énormes obstacles car comme le disait aussi Giorgio Morandi "Il n'y a rien ou très peu de nouveau dans le monde", et donc pour être original il faut peindre en tenant compte des évolutions sociales, technologiques et scientifiques.
On dit que l'art appartient à tout le monde mais il n'est pas pour tout le monde, donc tout le monde a le droit d'être ému par un chef-d'œuvre, mais peindre et créer est un don que Dieu a accordé seulement à quelques élus qui, capables de voir ce que les autres ne perçoivent souvent même pas, sont capables de transformer les émotions qui naissent de petites choses, d'un geste, d'une caresse, d'un regard, en tons vibrants qui colorent la grisaille du monde qui nous entoure.
Parmi ces chanceux, il faut certainement inclure le Maestro Zenerato, un artiste aussi talentueux que peu d'autres, qui fait de la minutie, de la rigueur et de la fantaisie un style pictural qui, bien qu'il rappelle les Maîtres du passé, démontrant que l'artiste a conservé les leçons de la belle peinture en volant aux grands une technique impeccable, présente une singularité et une individualité visibles dans cette touche de modernité élégante présente dans chaque création, qui fait de lui un oiseau rare dans le panorama artistique national.
Des paniers de fleurs et de fruits mûrs et luxuriants, posés sur de hauts murs de marbre usés par les années et souvent tachés des dessins amoureux de deux jeunes amoureux, s'entremêlent avec des objets de la vie quotidienne moderne, comme un CD-ROM, une souris, une spatule, qui deviennent un lien entre passé, présent et futur ; le paysage environnant, presque toujours capturé dans le crépuscule du soir lorsque le rayon vert salue le soleil et accueille la lune, fait ressortir avec encore plus de vigueur ce que Zenerato bannit sur les panneaux de marbre du premier plan, dans lesquels se détache une couleur de plus en plus vive, allant du rouge, au jaune, au vert et à toutes les nuances les plus chaudes de l'arc-en-ciel.
Et l'arc-en-ciel semble éclipser la carrière de ce jeune et prometteur artiste, prosateur de l'art car il a créé un style d'abord poétique puis pictural, avec lequel il parvient à représenter ce qu'il ressent en filtrant la laideur et la négativité que notre monde apporte avec lui.
Ils ont écrit sur lui ou jugé ses œuvres :
Paolo Levi, Paolo Rizzi, Giammarco Puntelli, Giorgio Grasso, Sergio Capellini, Pietro Gasperini, François Buisson, R. Boschi, Michele Nocera, Carlo Alberto Gobbetti, Antonella Gotti, Gianni Ingolia, Dino Pasquali, Umberto Zaccaria, Umberto Tessari, Ottorino Stefani, Giulio Gasparotti, Carlo Federico Teodoro, Carlo Rigoni, Giorgio Trevisan, Vera Meneguzzo, Claudio Radaelli, Grillo Biagio, Luca Dall'olio, Franco Brescianini, Giovanni B. Bianchini, Mara Frignani, Aldo Tavella, Angelo Marchiori, Walter Coccetta, Paolo Baratella, Luciano Chinois, Luigi Consonni, Giuseppe Possa, Silvano Valentini, Siro Perin, Alfredo Pasolino etc...