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Grec antique mycénien Marbre Idole de violon. Culture
00sinds 18 jul. '25, 05:05
€ 120,00
Beschrijving
Idole du violon.
Grèce, Cycladique ancien I, culture de Grotta-Pelos, vers 3200 - 2700 av. J.-C.
Marbre.
Hauteur de 7,5 cm.
État de conservation bon. La partie supérieure a été perdue.
Provenance : Collection privée, Estepona, Málaga. Acquis sur le marché de l'art français avant 1980.
Description:
Finement travaillé dans le marbre et maintenant enrichi d'une belle patine qui lui confère une teinte chaleureuse, presque vive, cette idole représente une figure féminine schématique. Il s'agit d'un torse complet, surmonté d'un large cou dont le profil courbe doucement pour former les épaules. Les avant-bras, courts comme c'est habituel dans la sculpture cycladique, descendent vers la taille prononcée, qui s'élargit à nouveau pour former les lignes des hanches. Cet enchaînement de lignes sinueuses détermine le profil caractéristique de ce type de figurine, connu donc sous le nom d'idoles de type violon. Cette typologie se caractérise également, comme le montre la pièce étudiée, par un bord inférieur arrondi et l'absence de jambes : l'attention symbolique se concentre sur le torse, qui rassemble les caractéristiques du corps féminin associées à la fertilité et à la reproduction : les seins, le ventre et le pubis. À ce jour, cette idole conserve encore sur sa face frontale les traces d'incisions qui auraient dessiné des détails anatomiques ou ornementaux, tels que la ligne en V au début du cou. Le cou, maintenant brisé, aurait été considérablement plus long, cylindrique et plat en haut, sans représentation différenciée de la tête.
Les idoles cycladiques portent le nom de leur lieu d'origine : les îles Cyclades, un groupe de 34 îles dans le sud-ouest de la mer Égée. Les anciens Grecs les appelaient Kyklades (cercle), car elles sont disposées en une forme approximativement circulaire autour de la sacro-sainte Délos, sanctuaire d'Apollon. Elles sont particulièrement riches en ressources minérales telles que le fer, le cuivre, l'or, l'argent, l'éméry, l'obsidienne et le marbre (le marbre de Paros et de Naxos étant parmi les meilleurs au monde). Depuis la période néolithique, une civilisation maritime et commerciale importante s'y est développée, avec un potentiel artistique très élevé.
Cette culture est divisée en trois phases successives : Cycladique ancienne (3200-1850 av. J.-C.), intermédaire (1850-1600 av. J.-C.) et récente (1600-1050 av. J.-C.). Le moment le plus brillant correspond à la Cycladique ancienne ; après cette période, les îles sont successivement passées sous l'influence de Crète et de Mycènes.
Il est très probable que les premiers habitants des Cyclades, venus d'Asie Mineure et d'Anatolie, aient introduit le culte de la Mère Divinité, garante de la fertilité. Les découvertes archéologiques sont rares, et on connaît peu de choses sur leurs pratiques religieuses. Il est possible que les lieux de culte sacrés se soient trouvés à l'air libre. La preuve architecturale est également très rare, les sites funéraires étant les plus courants. Plus de 2 000 tombes ont été découvertes. La plupart d'entre elles sont de petites fosses creusées peu profondément dans le sol, de forme rectangulaire, trapézoïdale ou circulaire, entourées de murs en pierre. Leur petite taille indique que le défunt était enterré en position foetale, couché sur le côté gauche. Sur l'île de Syros, les tombes à chambre étaient courantes, beaucoup plus grandes, formant des voûtes et communiquant avec l'extérieur, permettant ainsi la réalisation de rites funéraires. La preuve artistique de cette culture, les idoles cycladiques, provient des objets funéraires des habitants de haute rangée. Ce fait a donné lieu à des interprétations concernant le monde funéraire, notamment comme des amulettes pour le défunt, ou comme des indicateurs du lieu d'enterrement, sous la forme d'une stèle. Les figures féminines (environ 95 % de celles découvertes) ont été interprétées comme des représentations de la Mère Divinité ou de la fertilité.
On a également suggéré que ces idoles, en raison des preuves de réparations et de repeintures sur certaines d'entre elles, ont peut-être été activement utilisées de leur vivant avant d'être placées dans leurs tombeaux. Peut-être servaient-elles d'amulettes protectrices lors de périodes particulièrement dangereuses sur le plan physique et spirituel, telles que l'accouchement, la mort, les voyages en mer ou les rituels de passage. Il a également été noté qu'elles pouvaient être spécialement liées à la vie des femmes, et il existe en effet des idoles cycladiques représentant des femmes enceintes, ou celles présentant des rides post-partum. Les bras croisés sous la poitrine de ces figures peuvent être interprétés comme une protection symbolique de l'utérus, bien que ce soit aussi une position typiquement funéraire.
Une idole Cycladique est remarquable par son traitement schématique du corps humain, réduisant l'anatomie à ses éléments essentiels. En marbre de Paros, elles étaient décorées de motifs peints avec des pigments à base de minerais : azurite pour les bleus et fer ou cinabre pour les rouges. La conception schématique, leur dénominateur commun, les profils arrondis et l'absence de détails, permettent de distinguer plusieurs archétypes. La taille est une caractéristique variable, allant de 5 à 150 centimètres de hauteur. La modélisation a été réalisée en abrasive la pièce de marbre avec une pierre à abraser.
Les plus anciens idoles appartiennent à la Cycladique antique I, la plus schématique, rendant impossible d'identifier le sexe à l'œil nu. Il existe trois types, développés en même temps : Plastiras, dont les traits du visage sont très marqués, sauf pour les yeux. Le deuxième, appelé Louros, dont la caractéristique principale est de garder les bras tendus horizontalement. Les deux typologies ne montrent pas le nez. La troisième typologie est appelée l'idole violon en raison de sa forme, qui est notablement plus synthétique dans sa conception que les deux précédentes. Ce troisième type est caractérisé par un cou allongé, sans tête, de courtes protubérances des deux côtés représentant les bras pliés et croisés sur la poitrine, une taille différenciée et des hanches larges, qui se terminent par un profil inférieur arrondi, sans jambes. Les idoles violon sont le type de représentations humaines schématiques les plus courantes en Cycladique antique, et sont généralement de petite taille, rarement plus de 20 cm de hauteur. Il est connu qu'elles représentent des femmes car plusieurs exemples présentent un triangle pubien incisé ou, moins fréquemment, des seins moulés.
Selon Pat Getz-Gentle, les figures assises avec des fesses volumineuses réalisées dans les Cyclades pendant le Néolithique terminal auraient été le modèle original des idoles de violon plus plates et plus schématiques. Cette simplification d'un modèle original plus anatomiquement correct et détaillé serait le résultat d'une évolution vers une synthèse toujours plus grande, développée parallèlement, comme c'est typique de la sculpture cycladique, vers une sculpture plus naturaliste (type Plastiras).
Les idoles en violon seraient donc une réduction à leur essence (formelle et symbolique) de la figure féminine ancienne assise en tailleur, avec les bras pliés au niveau du coude et placés sous la poitrine, taille fine et hanches larges, traditionnellement interprétée comme une représentation liée à la fertilité.
Bibliographie :
- CAUBET, A. (éd.). Idoles. Le pouvoir des images. Skira, Fondation Giancarlo Ligabue. 2019.
DOUMAS, C. La collection d'art cycladique ancien de N. P. Goulandris. Praeger. 1968.
GETZ-GENTLE, P. Scénographes des Cyclades : Individu et tradition au troisième millénaire avant J.-C. Presses de l'Université du Michigan. 1987.
GETZ-GENTLE, P. Art cycladique ancienne dans des collections privées d'Amérique du Nord. Virginia Museum of Fine Arts. 1987.
GETZ- GENTLE, P. Sculpture cycladique ancienne : une introduction. Musée Getty. 1994.
PAPATHANASOPOULOS, G. Civilisation néolithique et cycladique. Musée archéologique national, Athènes, Maison d'édition Melissa. 1981.
PICÓN, C. Antiquités classiques provenant de collections privées en Grande-Bretagne : une exposition prêtée en faveur des archives Ashmole. Sotheby’s Londres. 1986.
Parallèles:
Fig. 1 Idole de type violon. Marbre, haute de 11,1 cm. Période cycladique ancienne I, vers 3200-2700 av. J.-C. British Museum, Londres. Inv. 1889,0521.2.
Fig. 2 Idole de type violon. Marbre, haute de 13,8 cm. Période cycladique tôt I, vers 3200-2700 av. J.-C. Collection Ligabue, Venise, Italie.
Fig. 3 Idole en forme de violon. Marbre, hauteur 23 cm. Période cycladique ancienne I, vers 3200-2700 av. J.-C. Collection privée, Paris, France.
Fig. 4 Idol en forme de violon. Marbre, hauteur 21,3 cm. Période cycladique ancienne I, env. 3200-2700 av. J.-C. Musée Goulandris d'art cycladique, Athènes. Inv. «106».
Fig. 5 Idole en forme de violon. Marbre, hauteur 9,4 cm. Période Cycladique Antérieure I, environ 3200-2700 av. J.-C. Musée Goulandris d'Art Cycladique, Athènes. Inventaire '0337'. Endommagée et réparée dans l'antiquité.
Fig. 6 Idole violon. Marbre. Période cycladique ancienne I, vers 3200-2700 av. J.-C. Musée archéologique de Naxos.
Fig. 7 Idole violon. Marbre, 11,5 cm de haut. Période Cycladique Éragée I, vers 3200-2700 av. J.-C. Musée du Louvre, Paris. Inv. MND 2002, Ma 3505.
Fig. 8 Idol en forme de violon. Marbre, hauteur 12,6 cm. Première période cycladique I, vers 3200-2700 av. J.-C. Muséum britannique, Londres. Inv. 1884,1213.16.
Remarques :
L'article comprend un certificat d'authenticité.
La pièce comprend une licence d'exportation espagnole.
Grèce, Cycladique ancien I, culture de Grotta-Pelos, vers 3200 - 2700 av. J.-C.
Marbre.
Hauteur de 7,5 cm.
État de conservation bon. La partie supérieure a été perdue.
Provenance : Collection privée, Estepona, Málaga. Acquis sur le marché de l'art français avant 1980.
Description:
Finement travaillé dans le marbre et maintenant enrichi d'une belle patine qui lui confère une teinte chaleureuse, presque vive, cette idole représente une figure féminine schématique. Il s'agit d'un torse complet, surmonté d'un large cou dont le profil courbe doucement pour former les épaules. Les avant-bras, courts comme c'est habituel dans la sculpture cycladique, descendent vers la taille prononcée, qui s'élargit à nouveau pour former les lignes des hanches. Cet enchaînement de lignes sinueuses détermine le profil caractéristique de ce type de figurine, connu donc sous le nom d'idoles de type violon. Cette typologie se caractérise également, comme le montre la pièce étudiée, par un bord inférieur arrondi et l'absence de jambes : l'attention symbolique se concentre sur le torse, qui rassemble les caractéristiques du corps féminin associées à la fertilité et à la reproduction : les seins, le ventre et le pubis. À ce jour, cette idole conserve encore sur sa face frontale les traces d'incisions qui auraient dessiné des détails anatomiques ou ornementaux, tels que la ligne en V au début du cou. Le cou, maintenant brisé, aurait été considérablement plus long, cylindrique et plat en haut, sans représentation différenciée de la tête.
Les idoles cycladiques portent le nom de leur lieu d'origine : les îles Cyclades, un groupe de 34 îles dans le sud-ouest de la mer Égée. Les anciens Grecs les appelaient Kyklades (cercle), car elles sont disposées en une forme approximativement circulaire autour de la sacro-sainte Délos, sanctuaire d'Apollon. Elles sont particulièrement riches en ressources minérales telles que le fer, le cuivre, l'or, l'argent, l'éméry, l'obsidienne et le marbre (le marbre de Paros et de Naxos étant parmi les meilleurs au monde). Depuis la période néolithique, une civilisation maritime et commerciale importante s'y est développée, avec un potentiel artistique très élevé.
Cette culture est divisée en trois phases successives : Cycladique ancienne (3200-1850 av. J.-C.), intermédaire (1850-1600 av. J.-C.) et récente (1600-1050 av. J.-C.). Le moment le plus brillant correspond à la Cycladique ancienne ; après cette période, les îles sont successivement passées sous l'influence de Crète et de Mycènes.
Il est très probable que les premiers habitants des Cyclades, venus d'Asie Mineure et d'Anatolie, aient introduit le culte de la Mère Divinité, garante de la fertilité. Les découvertes archéologiques sont rares, et on connaît peu de choses sur leurs pratiques religieuses. Il est possible que les lieux de culte sacrés se soient trouvés à l'air libre. La preuve architecturale est également très rare, les sites funéraires étant les plus courants. Plus de 2 000 tombes ont été découvertes. La plupart d'entre elles sont de petites fosses creusées peu profondément dans le sol, de forme rectangulaire, trapézoïdale ou circulaire, entourées de murs en pierre. Leur petite taille indique que le défunt était enterré en position foetale, couché sur le côté gauche. Sur l'île de Syros, les tombes à chambre étaient courantes, beaucoup plus grandes, formant des voûtes et communiquant avec l'extérieur, permettant ainsi la réalisation de rites funéraires. La preuve artistique de cette culture, les idoles cycladiques, provient des objets funéraires des habitants de haute rangée. Ce fait a donné lieu à des interprétations concernant le monde funéraire, notamment comme des amulettes pour le défunt, ou comme des indicateurs du lieu d'enterrement, sous la forme d'une stèle. Les figures féminines (environ 95 % de celles découvertes) ont été interprétées comme des représentations de la Mère Divinité ou de la fertilité.
On a également suggéré que ces idoles, en raison des preuves de réparations et de repeintures sur certaines d'entre elles, ont peut-être été activement utilisées de leur vivant avant d'être placées dans leurs tombeaux. Peut-être servaient-elles d'amulettes protectrices lors de périodes particulièrement dangereuses sur le plan physique et spirituel, telles que l'accouchement, la mort, les voyages en mer ou les rituels de passage. Il a également été noté qu'elles pouvaient être spécialement liées à la vie des femmes, et il existe en effet des idoles cycladiques représentant des femmes enceintes, ou celles présentant des rides post-partum. Les bras croisés sous la poitrine de ces figures peuvent être interprétés comme une protection symbolique de l'utérus, bien que ce soit aussi une position typiquement funéraire.
Une idole Cycladique est remarquable par son traitement schématique du corps humain, réduisant l'anatomie à ses éléments essentiels. En marbre de Paros, elles étaient décorées de motifs peints avec des pigments à base de minerais : azurite pour les bleus et fer ou cinabre pour les rouges. La conception schématique, leur dénominateur commun, les profils arrondis et l'absence de détails, permettent de distinguer plusieurs archétypes. La taille est une caractéristique variable, allant de 5 à 150 centimètres de hauteur. La modélisation a été réalisée en abrasive la pièce de marbre avec une pierre à abraser.
Les plus anciens idoles appartiennent à la Cycladique antique I, la plus schématique, rendant impossible d'identifier le sexe à l'œil nu. Il existe trois types, développés en même temps : Plastiras, dont les traits du visage sont très marqués, sauf pour les yeux. Le deuxième, appelé Louros, dont la caractéristique principale est de garder les bras tendus horizontalement. Les deux typologies ne montrent pas le nez. La troisième typologie est appelée l'idole violon en raison de sa forme, qui est notablement plus synthétique dans sa conception que les deux précédentes. Ce troisième type est caractérisé par un cou allongé, sans tête, de courtes protubérances des deux côtés représentant les bras pliés et croisés sur la poitrine, une taille différenciée et des hanches larges, qui se terminent par un profil inférieur arrondi, sans jambes. Les idoles violon sont le type de représentations humaines schématiques les plus courantes en Cycladique antique, et sont généralement de petite taille, rarement plus de 20 cm de hauteur. Il est connu qu'elles représentent des femmes car plusieurs exemples présentent un triangle pubien incisé ou, moins fréquemment, des seins moulés.
Selon Pat Getz-Gentle, les figures assises avec des fesses volumineuses réalisées dans les Cyclades pendant le Néolithique terminal auraient été le modèle original des idoles de violon plus plates et plus schématiques. Cette simplification d'un modèle original plus anatomiquement correct et détaillé serait le résultat d'une évolution vers une synthèse toujours plus grande, développée parallèlement, comme c'est typique de la sculpture cycladique, vers une sculpture plus naturaliste (type Plastiras).
Les idoles en violon seraient donc une réduction à leur essence (formelle et symbolique) de la figure féminine ancienne assise en tailleur, avec les bras pliés au niveau du coude et placés sous la poitrine, taille fine et hanches larges, traditionnellement interprétée comme une représentation liée à la fertilité.
Bibliographie :
- CAUBET, A. (éd.). Idoles. Le pouvoir des images. Skira, Fondation Giancarlo Ligabue. 2019.
DOUMAS, C. La collection d'art cycladique ancien de N. P. Goulandris. Praeger. 1968.
GETZ-GENTLE, P. Scénographes des Cyclades : Individu et tradition au troisième millénaire avant J.-C. Presses de l'Université du Michigan. 1987.
GETZ-GENTLE, P. Art cycladique ancienne dans des collections privées d'Amérique du Nord. Virginia Museum of Fine Arts. 1987.
GETZ- GENTLE, P. Sculpture cycladique ancienne : une introduction. Musée Getty. 1994.
PAPATHANASOPOULOS, G. Civilisation néolithique et cycladique. Musée archéologique national, Athènes, Maison d'édition Melissa. 1981.
PICÓN, C. Antiquités classiques provenant de collections privées en Grande-Bretagne : une exposition prêtée en faveur des archives Ashmole. Sotheby’s Londres. 1986.
Parallèles:
Fig. 1 Idole de type violon. Marbre, haute de 11,1 cm. Période cycladique ancienne I, vers 3200-2700 av. J.-C. British Museum, Londres. Inv. 1889,0521.2.
Fig. 2 Idole de type violon. Marbre, haute de 13,8 cm. Période cycladique tôt I, vers 3200-2700 av. J.-C. Collection Ligabue, Venise, Italie.
Fig. 3 Idole en forme de violon. Marbre, hauteur 23 cm. Période cycladique ancienne I, vers 3200-2700 av. J.-C. Collection privée, Paris, France.
Fig. 4 Idol en forme de violon. Marbre, hauteur 21,3 cm. Période cycladique ancienne I, env. 3200-2700 av. J.-C. Musée Goulandris d'art cycladique, Athènes. Inv. «106».
Fig. 5 Idole en forme de violon. Marbre, hauteur 9,4 cm. Période Cycladique Antérieure I, environ 3200-2700 av. J.-C. Musée Goulandris d'Art Cycladique, Athènes. Inventaire '0337'. Endommagée et réparée dans l'antiquité.
Fig. 6 Idole violon. Marbre. Période cycladique ancienne I, vers 3200-2700 av. J.-C. Musée archéologique de Naxos.
Fig. 7 Idole violon. Marbre, 11,5 cm de haut. Période Cycladique Éragée I, vers 3200-2700 av. J.-C. Musée du Louvre, Paris. Inv. MND 2002, Ma 3505.
Fig. 8 Idol en forme de violon. Marbre, hauteur 12,6 cm. Première période cycladique I, vers 3200-2700 av. J.-C. Muséum britannique, Londres. Inv. 1884,1213.16.
Remarques :
L'article comprend un certificat d'authenticité.
La pièce comprend une licence d'exportation espagnole.
Zoekertjesnummer: a152467755
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