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Alberto Ricardo (XXI) - El Padrino Silencio de poder
00sinds 17 jul. '25, 05:00
€ 1,00
Beschrijving
Oeuvre de l'artiste Alberto Ricardo, réalisée avec la technique d'impression Giclée, sur toile professionnelle de haute qualité, 100% coton, résistance maximale aux manipulations et aux agents extérieurs de la marque Eco Canvas Roma Glossy, satinée.
Nous garantissons un produit durable et de qualité visuelle.
Peinture de 65 x 70 cm avec une profondeur de 5 cm.
Édition limitée 1/5 signée à la main sur le devant.
Au verso de la pièce, vous trouverez les informations sur l'œuvre.
Le envoi sera effectué par la société United Parcel Service (UPS) pour l'Espagne et l'Europe, et par la société Fedex pour le reste du monde.
L'œuvre sera enroulée et protégée par plusieurs couches d'emballage, du film à bulles en nylon, puis placée dans un tube résistant.
Une fois l'œuvre payée, il faut trois jours pour le processus d'emballage et la livraison à la compagnie de transport.
La pièce vous sera envoyée dans un délai de dix jours, selon le pays de destination.
Il y a des images que on n'entend pas, mais qui imposent le silence. Celle-ci en fait partie. Face à cette représentation du légendaire Don Vito Corleone, le mot cède la place au regard fixe, à la fumée qui s'élève comme une prière païenne, au poids invisible d'une autorité qui n'a pas besoin de se proclamer. Cette œuvre, imprimée sur toile, n'est pas seulement un portrait : c'est une atmosphère. C'est l'instant avant le jugement, le soupir avant une sentence, l'écho d'une voix qui n'a pas besoin de s'élever pour être entendue.
Du point de vue technique, l'exécution possède une finesse picturale qui rappelle les grands maîtres du portrait baroque, mais avec une esthétique cinématographique contemporaine. La texture de la peau, le jeu de lumières sur le front, les plis du visage marqués par la gravité de la pensée, tout a été construit avec une technique qui privilégie la profondeur psychologique autant que la fidélité visuelle. La lumière, chaude et douce, modèle avec respect, sans dramatisme, laissant le pouvoir émerger du geste et non de l'artifice.
Le fond, cependant, est un subtil tournant conceptuel. Là où l'on pourrait s'attendre à un environnement sombre et austère, apparaît une toile d'araignée de graffitis symboliques — mots comme « LOVE », couronnes, étoiles — qui, loin de briser la solennité, l'enrichissent par une lecture contemporaine. C'est comme si le personnage, construit selon la tradition du pouvoir patriarcal et de la mafia classique, était désormais absorbé par le langage urbain, par la culture visuelle du présent qui le transforme en icône pop, en symbole réinterprété par les nouvelles générations.
La cigarette, tenue avec patience, est plus qu'un accessoire : c'est une extension du caractère. Il n'y a ni vantardise ni nervosité dans la main qui la porte, seulement un rituel de contrôle. Chaque doigt, chaque pli, chaque ombre a du poids, a une histoire. La fumée qui s'élève en spirale semble une murmure visuel, une méditation faite image. Et le costume — noir absolu, avec la chemise blanche comme unique rupture — encadre la silhouette avec la sobriété de celui qui n'a pas besoin d'ornements pour projeter le pouvoir.
Conceptuellement, cette image imprimée sur toile transcende la simple référence cinématographique. C'est, plutôt, une canonisation laïque. Don Vito, interprété par Marlon Brando, devient ici une figure religieuse du pouvoir masculin, de la parole qui ne se gaspille pas, du jugement qui ne se prononce que lorsque c'est nécessaire. L'insertion de symboles contemporains en arrière-plan suggère que le mythe n'appartient plus seulement au cinéma, mais à la mémoire visuelle collective, réinterprétée encore et encore.
La toile comme support est essentielle pour que cette tension entre le classique et l'urbain fonctionne. La rugosité du tissu confère une matérialité qui renforce la noblesse du portrait, tandis que les coups de pinceau visibles en arrière-plan illustrent l espontanéité d'une nouvelle lecture. Sur un mur, cette image ne se contente pas d'être accrochée : elle s'installe. Elle crée une présence, impose une pause, exige la contemplation.
En résumé, ce portrait de « Le Parrain » n'est pas une simple évocation d'un personnage célèbre. C'est une conversation entre les époques, entre des codes visuels, entre des traditions qui cohabitent et se défient. Sur le plan technique, symbolique et émotionnel, c'est une œuvre qui n'incarne pas le pouvoir : elle l'incarne lui-même. Et depuis la toile, cela nous rappelle qu'il y a des silences qui pèsent plus que mille mots.
Nous garantissons un produit durable et de qualité visuelle.
Peinture de 65 x 70 cm avec une profondeur de 5 cm.
Édition limitée 1/5 signée à la main sur le devant.
Au verso de la pièce, vous trouverez les informations sur l'œuvre.
Le envoi sera effectué par la société United Parcel Service (UPS) pour l'Espagne et l'Europe, et par la société Fedex pour le reste du monde.
L'œuvre sera enroulée et protégée par plusieurs couches d'emballage, du film à bulles en nylon, puis placée dans un tube résistant.
Une fois l'œuvre payée, il faut trois jours pour le processus d'emballage et la livraison à la compagnie de transport.
La pièce vous sera envoyée dans un délai de dix jours, selon le pays de destination.
Il y a des images que on n'entend pas, mais qui imposent le silence. Celle-ci en fait partie. Face à cette représentation du légendaire Don Vito Corleone, le mot cède la place au regard fixe, à la fumée qui s'élève comme une prière païenne, au poids invisible d'une autorité qui n'a pas besoin de se proclamer. Cette œuvre, imprimée sur toile, n'est pas seulement un portrait : c'est une atmosphère. C'est l'instant avant le jugement, le soupir avant une sentence, l'écho d'une voix qui n'a pas besoin de s'élever pour être entendue.
Du point de vue technique, l'exécution possède une finesse picturale qui rappelle les grands maîtres du portrait baroque, mais avec une esthétique cinématographique contemporaine. La texture de la peau, le jeu de lumières sur le front, les plis du visage marqués par la gravité de la pensée, tout a été construit avec une technique qui privilégie la profondeur psychologique autant que la fidélité visuelle. La lumière, chaude et douce, modèle avec respect, sans dramatisme, laissant le pouvoir émerger du geste et non de l'artifice.
Le fond, cependant, est un subtil tournant conceptuel. Là où l'on pourrait s'attendre à un environnement sombre et austère, apparaît une toile d'araignée de graffitis symboliques — mots comme « LOVE », couronnes, étoiles — qui, loin de briser la solennité, l'enrichissent par une lecture contemporaine. C'est comme si le personnage, construit selon la tradition du pouvoir patriarcal et de la mafia classique, était désormais absorbé par le langage urbain, par la culture visuelle du présent qui le transforme en icône pop, en symbole réinterprété par les nouvelles générations.
La cigarette, tenue avec patience, est plus qu'un accessoire : c'est une extension du caractère. Il n'y a ni vantardise ni nervosité dans la main qui la porte, seulement un rituel de contrôle. Chaque doigt, chaque pli, chaque ombre a du poids, a une histoire. La fumée qui s'élève en spirale semble une murmure visuel, une méditation faite image. Et le costume — noir absolu, avec la chemise blanche comme unique rupture — encadre la silhouette avec la sobriété de celui qui n'a pas besoin d'ornements pour projeter le pouvoir.
Conceptuellement, cette image imprimée sur toile transcende la simple référence cinématographique. C'est, plutôt, une canonisation laïque. Don Vito, interprété par Marlon Brando, devient ici une figure religieuse du pouvoir masculin, de la parole qui ne se gaspille pas, du jugement qui ne se prononce que lorsque c'est nécessaire. L'insertion de symboles contemporains en arrière-plan suggère que le mythe n'appartient plus seulement au cinéma, mais à la mémoire visuelle collective, réinterprétée encore et encore.
La toile comme support est essentielle pour que cette tension entre le classique et l'urbain fonctionne. La rugosité du tissu confère une matérialité qui renforce la noblesse du portrait, tandis que les coups de pinceau visibles en arrière-plan illustrent l espontanéité d'une nouvelle lecture. Sur un mur, cette image ne se contente pas d'être accrochée : elle s'installe. Elle crée une présence, impose une pause, exige la contemplation.
En résumé, ce portrait de « Le Parrain » n'est pas une simple évocation d'un personnage célèbre. C'est une conversation entre les époques, entre des codes visuels, entre des traditions qui cohabitent et se défient. Sur le plan technique, symbolique et émotionnel, c'est une œuvre qui n'incarne pas le pouvoir : elle l'incarne lui-même. Et depuis la toile, cela nous rappelle qu'il y a des silences qui pèsent plus que mille mots.
Zoekertjesnummer: a152443543
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