Peint dans une collection

Riccardo Galli (Milan, 1869 – Barzio, 1944)

Scène de cour française

Période : 1920/1930

Œuvre authentique / accompagnée d'une certification conforme à la loi - provenant d'une célèbre galerie d'art à Milan - * L'œuvre est signée, la signature est partiellement couverte par le pass par tout.

Aquarelle sur papier dans un cadre ovale exceptionnel, contemporain et doré.

Peintre exposé à la Quadriennale de Turin et à d'autres expositions à Rome et Florence, ainsi qu'aux Biennales de Venise - auteur exposé dans des musées italiens.

Riccardo Galli est né à Milan le 22 juillet 1869 dans une famille d'origine piémontaise. Il suit les cours de l’Académie de Brera sous la direction de Giuseppe Bertini et commence sa carrière en tant qu’illustrateur, collaborant avec des éditeurs et des journaux italiens et étrangers — notamment « La Lettura », dirigé par Giuseppe Giacosa — en produisant également des affiches publicitaires.

Depuis 1895, il participe régulièrement aux expositions annuelles de la Société Permanente et de la Famille Artistique, principalement avec des paysages à l'huile et des études de figures au pastel ; il est également admis aux expositions triennales de Brera avec le grand portrait de dame au pastel (1897), représentant sa femme Mira Rossi (d'où viennent ses enfants Maria et Emilio), ainsi que des portraits, également au pastel, de la marquise Eva Parravicini-Persia Messa et de Madame Lina Pontevia Germani (1900). La commande d'une effigie à l'huile de Vittorio Emanuele III par la municipalité de Milan (1901) le confirme définitivement comme un portraitiste à la mode : au fil des années, il immortalise en effet de nombreux représentants de la haute bourgeoisie milanaise, parmi lesquels Ada Luisa Binda (1903), Enrichetta Cagnola Damia (1904), Enrico Zonda (1908), Irene Falck Bertarelli (1907), Zina Moratti (1913), Giovanna Bernocchi (1914), Claire Silva Odetti de Marcorengo (1921), Alfonso Bernasconi et Ida Peluso Bernasconi (1920), ainsi que Fidy Guastalla, Achille Pini, Francesco Pasquinelli, Ferdinando Taccioli, Felice Bisleri, la princesse Tina Pignatelli du Chene de Vére, Paola Fratino, Enrico Leuthold.

En parallèle, il a également réalisé quelques portraits honorifiques pour les principales institutions hospitalières et d'assistance ambrosiennes : pour l’Hôpital Majeur ceux de Paolo Beretta (1901), Enrico Zonda (1915), Roberto Perego (1934), Paolo Scanziani et Maria Melocchi Scanziani (1936), Nanà Parravicini di Persia (1938), Filippo Mezzi (1941), pour la Congrégation de la Charité (aujourd’hui à l’ASP Golgi-Redaelli) ceux de Carlo Giulio Trolliet (1903) et Pompeo Confalonieri (1908), pour l’Institut des Aveugles les effigies d’Antonietta Maderni (1905), Maddalena Maderni Trombini (1905), Soave Besana (1921) et Alfonso Bernasconi (1925), et pour l’Institut Pio Albergo Trivulzio, Martinitt et Stelline celle de Carlo Sesana (1941).

En 1906, il participe à l'Exposition nationale de Milan avec la grande toile La félicité dans un coin, destinée à la Casa degli Italiani de Buenos Aires, ainsi qu'aux pastels Portrait de fillette et Portrait de Mademoiselle Fanny Mangili ; suivent les Biennales nationales de Brera avec Portrait de dame (1908), Nell’orto (1910), Portrait de la dame Annie Cirla Imperatori (1912), Entre les vieilles maisons d'Hospenthal et le Portrait de la comtesse Gabriella Sottocasa Levi (1914), Portrait des enfants Romualdo et Ida Borletti (1918), En tramway (1923), Sur le rocher et Portrait de M. Reiser (1925).

Expose également aux Quadriennales de Turin et à d'autres expositions à Rome et Florence, ainsi qu'aux Biennales de Venise : à ces dernières, il présente Ritratto (1907), Ritratto di Mary De Nicola (1914), Cingallegre (1920), achetée par Vittorio Emanuele III, Oro e azzurro (1922), Penombra (1924), entrée dans la collection Georgiadis de Trieste, et Ottobre lungo la Senna (1926).

En 1911, il est l'un des membres fondateurs de la Società degli Acquarellisti Lombardi, aux côtés de Paolo Sala et Filippo Carcano, tandis qu'après la Première Guerre mondiale, il promeut la Famiglia Meneghina, où il se distingue également en tant que poète et acteur en dialecte milanais.

Riccardo Galli est décédé le 12 mars 1944 à Barzio, dans la Vallassina, lieu où il séjourne pendant les années du second conflit mondial.

Œuvre authentique / Signée / avec certificat d'authenticité conforme à la loi

Dimensions : 44 x 34 cm dans une élégante corniche contemporaine dorée
Acquerello : 36 x 27 cm


Le cadre présenté sur la photo sera joint en cadeau ; aucune réclamation concernant l'état du cadre ne sera prise en considération, ni concernant d'éventuels dommages liés au transport du cadre.

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