Bernardino India (1528 – 1590), Suiveur de - Sacra Famiglia

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Suiveur de BERNARDINO INDIA
Vérone, 1528 - 1590
Sainte Famille avec Saint Jean Baptiste
Huile sur toile, 32,5 x 43,5 cm
Dimension du cadre : 51 x 62 x 6 cm environ.
NOTE : Publication du catalogue des œuvres de la collection Intermidiart. Certificat d'origine légale. Oeuvre avec cadre doré (défauts) :
Peintre du Nord, de qualité remarquable, représentant un sujet iconographique qui reprend un schéma très répandu et éprouvé mettant la Vierge et l'Enfant au centre d'une composition, à proximité d'un saint : dans ce cas précis, la rencontre du Sauveur, désormais devenu enfant, avec Saint Jean-Baptiste, un peu plus âgé, fait référence à un arrêt légendaire de la Sainte Famille, selon la tradition chrétienne, lors de leur voyage de retour après la fuite en Égypte, qui permit aux deux enfants de se croiser. Il est également connu que la représentation de personnages sacrés dans un espace limité, les « saints dialogues », a connu une grande popularité surtout au XVIe siècle ; il convient aussi de souligner que dans ces représentations, la présence d’un saint avait généralement une signification iconographique claire : elle pouvait indiquer le nom du personnage auquel était consacrée l’église, ou bien le saint patron de la ville ou du commanditaire du tableau.
Du point de vue des caractères stylistiques, nous sommes en présence d'une œuvre très intéressante réalisée par un peintre talentueux actif durant la seconde moitié du XVIe siècle et au début des années de transition du siècle suivant ; en effet, cette œuvre met en évidence une culture principalement inspirée par les œuvres des maîtres du maniérisme padan et toscan, mais qui tend également à faire écho aux modèles classiques adoptés par le grand Giulio Romano ; ces données stylistiques confèrent aux personnages représentés une allure vaguement excentrique et pourtant noble, avec une prestance presque sculpturale tout à fait particulière. Il s'agit donc du produit singulier d'un artiste qui manifeste une pensée visuelle riche de suggestions élégantes provenant de Giulio Romano et Parmigianino, où ne manquent pas des échos du colorisme vénitien et une éducation au dessin des grands maîtres florentins : particularités typiques des peintres originaires de Vénétie qui furent des épigones de Francesco Caroto et Jacopo Ligozzi.
Pour ces raisons non négligeables, je pense pouvoir élucider la question attributive en reliant la Sainte Famille à Saint Jean-Baptiste dans le cadre de l'école vénitienne selon la manière de Bernardino India (Verone, 1528 – 1590).
Parmi les principaux représentants du second Cinquecento, nous rappelons Paolo Veronese, avec ses compositions monumentales, et Felice Brusasorci, qui a su conjuguer les influences vénitiennes et florentines. Bernardino India, avec sa sensibilité chromatique raffinée, a également contribué à définir l'identité de l'école de Vérone.
Bernardino India s'inscrit pleinement dans le débat sur la réception du Maniérisme en Vénétie. Sa formation dans l'atelier de Domenico Brusasorci le place en relation directe avec les évolutions stylistiques de la période, caractérisées par une attention croissante à la ligne et à la figure allongée, héritage direct du Parmigianino ; avec une sensibilité marquée pour la couleur et la lumière. L'analyse de ses œuvres révèle une prédilection pour les sujets sacrés, souvent représentés avec une élégance formelle qui les rapproche des modèles de la sculpture manières.
Les figures de l'Inde, allongées et élancées, se déplacent dans des espaces bidimensionnels, caractérisés par une construction géométrique soignée. La lumière, douce et enveloppante, modelle délicatement les volumes, conférant aux œuvres une atmosphère intime et recueillie.
Né en 1528 à Vérone, on connaît peu de choses sur sa formation artistique, mais, étant donné sa prolifique activité de fresquiste, il est possible qu'il ait fréquenté l'un des grands décorateurs de la génération précédente : Giovanni Maria Falconetto, Giovanni Francesco Caroto, Francesco India, ou peut-être le plus jeune Domenico Brusasorci. Il fit ses débuts, entre 1550 et 1555, en peignant des divinités olympiques et des grotesques, ces dernières en collaboration avec Eliodoro Forbicini, dans deux salles du rez-de-chaussée du palais Canossa à Vérone, construit par Sanmicheliano. Peu après, peut-être dès 1552, il s'installa à Vicence pour décorer le palais que Marcantonio Thiene venait de faire construire par Andrea Palladio. C'est ici qu'il entama une collaboration fructueuse avec un groupe de décorateurs actifs pour un
Les vingt années dans les grandes villas palladiennes : Anselmo Canera et Bartolomeo Ridolfi, tous deux formés à Vérone, et l'italien Alessandro Vittoria. Avant 1558, le peintre réalisa la décoration à fresque – dont il reste des fragments au Musée des fresques Giovanni Battista Cavalcaselle – sur la façade mineure du palais détruit de Fiorio dei Fiori, représentant les Allégories des villes de Rovigo, Vérone et Trévise. La septième décennie connaît également une production non négligeable de tableaux d'autel, dont certains exécutés à deux mains avec Orlando Flacco : la Vierge au Bambin, les anges et saint Vigile et saint Jean-Baptiste au Musée civique de Castelvecchio et le panneau perdu pour S. Zeno en 1563. Au cours de la huitième décennie, l'Italien fut appelé par la commanditaire de San Bernardino. Le peintre eut l'occasion de réaliser deux tableaux d'autel pour l'église : le premier, représentant l'Adoration des bergers, le second, avec la Vierge et sainte Anne de 1579.
Concernant son état de conservation, la table est dans un état de conservation discret. La surface picturale présente une couche de vernis en patine et sale, oxydée, non plus uniforme, avec de légers défauts. À la lumière de Wood, on remarque quelques restaurations dispersées ainsi que quelques velléités et oxydations de la surface picturale. À la lumière du soleil, une craquelure est visible, attribuable à l'époque. Aucun problème de conservation n'est apparent, comme des retouches, mais certains éléments pourraient nécessiter des interventions pour des approfondissements d'études attributives. Table avec traverses visibles sur la photo du verso. Les dimensions de la table sont de 32,5 x 43,5 cm. La peinture est embellie par un joli cadre doré (les dimensions du cadre sont d'environ 61 x 51 x 6 cm). « Le cadre montré dans les photos ci-dessus a été ajouté à l'œuvre par le vendeur ou un tiers. Le cadre vous est fourni sans coûts supplémentaires afin qu'il soit prêt à être exposé dès son arrivée. Le cadre est inclus à titre de courtoisie et n'est pas considéré comme une partie intégrante de l'œuvre. Par conséquent, tout dommage potentiel au cadre qui n’affecte pas l'œuvre elle-même ne sera pas accepté comme motif valable pour ouvrir une réclamation ou demander l'annulation de la commande."}}# response 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PROVENANCE : Collection Privée
PUBLICATION:
Inédit
MYTHES ET TERRITOIRE en Sicile aux mille cultures. INEDITA QUADRERIA catalogue général des peintures de la collection du cycle « I Miti e il territorio », Éditions Lab_04, Marsala, 2025.
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