Victor Vasarely (1906-1997) - Untitled (From the Zebra

€ 250,00
20sinds 26 apr. '25, 11:24
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Beschrijving

Lithographie en relief de Victor Vasarely (*)
Cette œuvre appartient à la série « Zebra ».
Edité sur papier Fine Art.
Imprimé par Barbará Calcografía (Barcelone), avec sceau d'atelier au verso de l'œuvre.
Il s'agit d'une épreuve d'atelier, non signée.
Inclut un certificat d'authenticité (COA).

Spécifications :

- Dimensions de la feuille : 32,5 x 25,2 cm.
- Année : 1984.
- État : Excellent

L'œuvre sera manipulée avec soin et emballée dans un emballage en carton plat renforcé. L'envoi sera certifié avec numéro de suivi.

L'envoi comprendra également une assurance complète pour la valeur finale de l'œuvre avec remboursement intégral en cas de perte ou de dommage, sans frais pour l'acheteur.

(*) Vásárhelyi Gyz, rebaptisé en France sous le nom de Victor Vasarely, était le père de l'art optique, une tendance artistique de caractère abstrait développée surtout dans les années 60, qui repose sur le jeu avec nos yeux pour obtenir des images qui simulent le mouvement et toutes sortes d'illusions optiques.
Vasarely a commencé à étudier la médecine en Hongrie, mais ce n'était pas sa vocation. Il s'est plutôt intéressé à l'art abstrait de Mondrian et Malévich, des personnes très intéressées par ce que la géométrie pouvait apporter à l'art.
Au début des années 1930, il est allé à Paris et a commencé sa recherche artistique principale : un type spécial d'art abstrait géométrique, qui crée des effets optiques de mouvement, jouant ainsi avec nous, pauvres spectateurs trompés par des formes et des perspectives étranges, et des images instables. Il a utilisé pour cela une peinture sans geste.
Apparemment, ces œuvres étaient influencées par les murs de carreaux blancs de la Denfert à Paris, qui créaient une sensation optique spéciale.
Vasarely a appelé tout cela cinétique visuelle (cinétique plastique) et se basait sur la perception du spectateur qui, en fin de compte, est considéré comme le seul créateur de l'œuvre. Ou plutôt l'œil du spectateur, un membre du corps humain très facile à tromper.
L'art de Vasarely est donc une arnaque, une escroquerie, une tromperie. Une tromperie au bon sens du terme, si tant est que le terme avait un bon sens. Du moins Vasarely lui en a donné.






























Mots clés :
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François della Verdi, Giovanni Battista Valdés ...
Vitra, Poolsen, Jacobsen, Hans Wegner, Charles Eames, Perriand, Philippe Starck, Marcel Breuer, Knoll, Juhl, Verner Panton, Le Corbusier, Mies Vander Rohe, George Nelson, Mogensen, Eames, Gio Ponti, Knoll, Isamu Noguchi, Bertoia, Aalto, Urquiola, Eileen Gray, Pesce, Magistretti.
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