Josep Cusachs y Cusachs (1851-1908), Suiveur de - Militaire€ 1,00
Beschrijving
1 volume in-12 plein veau (reliure de l'époque), tranches rouges, reliure solide, 336 pages
Usures extérieures - Bon exemplaire.
Pour que sa relation avec le roi soit socialement acceptable, Jeanne fut mariée en grandes pompes au comte Guillaume du Barry en septembre 1768. Le mariage fut arrangé de façon expresse afin de lui conférer un titre de noblesse.
«Elle me plaît, cela devrait suffire»
Face aux critiques sur ses origines modestes, LouisXV aurait opposé : «Elle est très jolie, elle me plaît, cela devrait suffire», montrant une sincérité déconcertante à un âge avancé.
Une amante entourée d’art et de luxe
Elle fut mécène pour des artistes comme Fragonard et Vien, et commanda de nombreux ornements de mobilier auprès des meilleurs artisans (Delanois, Leleu…). Elle reçut aussi le prestigieux domaine de Louveciennes, où elle passa beaucoup de temps.
Intrigues et rivalités à la Cour
Le duc de Choiseul, vexé que ce soit elle et non sa sœur qui soit favorite, lança des campagnes de dénigrement via pamphlets odieux et chansons salaces. Des tensions politiques lourdes s’ensuivirent.
Un message royal craché au visage du protocole
Un visiteur anglais rapporte que lors d’un conseil du roi, Madame du Barry aurait jeté un paquet de dépêches scellées dans le feu, sans cérémonie — un geste à la fois audacieux et symbolique.
Une touche d’humour populaire
D’après une satire de l’époque, alors qu’on lui servait du café, elle aurait lancé : «Eh, la France, prends donc garde! Ton café fout le camp!» Une remarque probablement adressée à un serviteur nommé La France, qui témoigne de son esprit incisif.
Ses derniers mots mythiques
Condamnée à mort en 1793, elle aurait, en montant à l’échafaud, murmuré un dernier mot poignant : «Encore un instant, Monsieur le Bourreau! », s’adressant peut-être à l’un de ses anciens amis, Charles-Henri.
Madame du Barry a profondément marqué le royaume de LouisXV non seulement par sa beauté, mais aussi par son caractère vif, sa passion pour les arts, et son sens aigu de la mise en scène personnelle. Elle incarne les contradictions d'une époque finissante — entre glamour, conflit et tragédie ultérieure.
Souhaitez-vous que je vous propose un extrait littéraire, une source primaire, ou que je vous guide vers un documentaire ou livre biographique sur elle?
1 volume in-12 full calfskin (contemporary binding), red edges, solid binding, 336 pages.
External wear - Good copy.
To make her relationship with the king socially acceptable, Jeanne was married with great pomp and ceremony to Count Guillaume du Barry in September 1768. The marriage was expressly arranged to confer a title of nobility upon her.
“I like her, that should be enough”
Faced with criticism of her modest origins, Louis XV reportedly replied: “She is very pretty, I like her, that should be enough,” showing disconcerting sincerity at an advanced age.
A mistress surrounded by art and luxury
She was a patron of artists such as Fragonard and Vien, and commissioned numerous pieces of furniture from the finest craftsmen (Delanois, Leleu, etc.). She also received the prestigious estate of Louveciennes, where she spent a great deal of time.
Intrigue and rivalry at court
The Duke of Choiseul, upset that she and not his sister was the favorite, launched smear campaigns via hateful pamphlets and salacious songs. Heavy political tensions ensued.
A royal message spat in the face of protocol
An English visitor reported that during a council meeting with the king, Madame du Barry unceremoniously threw a bundle of sealed dispatches into the fire—a gesture that was both bold and symbolic.
A touch of popular humor
According to a satire of the time, when she was served coffee, she reportedly exclaimed: “Hey, France, watch out! Your coffee is running away!” This remark was probably addressed to a servant named La France, and demonstrates her sharp wit.
Her legendary last words
Sentenced to death in 1793, as she climbed the scaffold, she is said to have whispered a poignant last word: “Just a moment, Monsieur the Executioner!” perhaps addressing one of her former friends, Charles-Henri.
Madame du Barry left a deep mark on the kingdom of Louis XV, not only with her beauty, but also with her lively character, her passion for the arts, and her keen sense of personal presentation. She embodies the contradictions of a dying era—between glamour, conflict, and subsequent tragedy.
Would you like me to suggest a literary excerpt, a primary source, or guide you to a documentary or biographical book about her?
Usures extérieures - Bon exemplaire.
Pour que sa relation avec le roi soit socialement acceptable, Jeanne fut mariée en grandes pompes au comte Guillaume du Barry en septembre 1768. Le mariage fut arrangé de façon expresse afin de lui conférer un titre de noblesse.
«Elle me plaît, cela devrait suffire»
Face aux critiques sur ses origines modestes, LouisXV aurait opposé : «Elle est très jolie, elle me plaît, cela devrait suffire», montrant une sincérité déconcertante à un âge avancé.
Une amante entourée d’art et de luxe
Elle fut mécène pour des artistes comme Fragonard et Vien, et commanda de nombreux ornements de mobilier auprès des meilleurs artisans (Delanois, Leleu…). Elle reçut aussi le prestigieux domaine de Louveciennes, où elle passa beaucoup de temps.
Intrigues et rivalités à la Cour
Le duc de Choiseul, vexé que ce soit elle et non sa sœur qui soit favorite, lança des campagnes de dénigrement via pamphlets odieux et chansons salaces. Des tensions politiques lourdes s’ensuivirent.
Un message royal craché au visage du protocole
Un visiteur anglais rapporte que lors d’un conseil du roi, Madame du Barry aurait jeté un paquet de dépêches scellées dans le feu, sans cérémonie — un geste à la fois audacieux et symbolique.
Une touche d’humour populaire
D’après une satire de l’époque, alors qu’on lui servait du café, elle aurait lancé : «Eh, la France, prends donc garde! Ton café fout le camp!» Une remarque probablement adressée à un serviteur nommé La France, qui témoigne de son esprit incisif.
Ses derniers mots mythiques
Condamnée à mort en 1793, elle aurait, en montant à l’échafaud, murmuré un dernier mot poignant : «Encore un instant, Monsieur le Bourreau! », s’adressant peut-être à l’un de ses anciens amis, Charles-Henri.
Madame du Barry a profondément marqué le royaume de LouisXV non seulement par sa beauté, mais aussi par son caractère vif, sa passion pour les arts, et son sens aigu de la mise en scène personnelle. Elle incarne les contradictions d'une époque finissante — entre glamour, conflit et tragédie ultérieure.
Souhaitez-vous que je vous propose un extrait littéraire, une source primaire, ou que je vous guide vers un documentaire ou livre biographique sur elle?
1 volume in-12 full calfskin (contemporary binding), red edges, solid binding, 336 pages.
External wear - Good copy.
To make her relationship with the king socially acceptable, Jeanne was married with great pomp and ceremony to Count Guillaume du Barry in September 1768. The marriage was expressly arranged to confer a title of nobility upon her.
“I like her, that should be enough”
Faced with criticism of her modest origins, Louis XV reportedly replied: “She is very pretty, I like her, that should be enough,” showing disconcerting sincerity at an advanced age.
A mistress surrounded by art and luxury
She was a patron of artists such as Fragonard and Vien, and commissioned numerous pieces of furniture from the finest craftsmen (Delanois, Leleu, etc.). She also received the prestigious estate of Louveciennes, where she spent a great deal of time.
Intrigue and rivalry at court
The Duke of Choiseul, upset that she and not his sister was the favorite, launched smear campaigns via hateful pamphlets and salacious songs. Heavy political tensions ensued.
A royal message spat in the face of protocol
An English visitor reported that during a council meeting with the king, Madame du Barry unceremoniously threw a bundle of sealed dispatches into the fire—a gesture that was both bold and symbolic.
A touch of popular humor
According to a satire of the time, when she was served coffee, she reportedly exclaimed: “Hey, France, watch out! Your coffee is running away!” This remark was probably addressed to a servant named La France, and demonstrates her sharp wit.
Her legendary last words
Sentenced to death in 1793, as she climbed the scaffold, she is said to have whispered a poignant last word: “Just a moment, Monsieur the Executioner!” perhaps addressing one of her former friends, Charles-Henri.
Madame du Barry left a deep mark on the kingdom of Louis XV, not only with her beauty, but also with her lively character, her passion for the arts, and her keen sense of personal presentation. She embodies the contradictions of a dying era—between glamour, conflict, and subsequent tragedy.
Would you like me to suggest a literary excerpt, a primary source, or guide you to a documentary or biographical book about her?
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Sinds 11 sep '25
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